Dieu

"Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez de trouver un plombier le dimanche !" Woody Allen

• Parodie signée Woody Allen

En l’an 500 avant Jésus-Christ, deux Grecs antiques, un auteur (Hépatitis) et un acteur (Diabétès), cherchent désespérement une fin à leur pièce. Les personnages deviennent eux-même acteurs d'une pièce dans la pièce, et commencent à douter de leur propre existence...

Ne vous inquiétez-pas, nous venons juste de perdre le contact avec la réalité !

Sur un fond de parodie de tragédie grecque, Woody Allen tisse une comédie drôle et absurde à laquelle s’invite un défilé de personnages anachroniques et plus délirants les uns que les autres.

• Un joyeux désordre très organisé

Même si cette pièce pose beaucoup de questions existentielles (Dieu existe-t-il ? Le public existe-t-il  ? Sommes-nous responsables de nos actes ? L’homme peut-il échapper à son destin ?...), je la conçois avant tout comme une pure comédie, très représentative de la liberté (liberté de ton, liberté sexuelle) qui a caractérisé les années 70.

J’ai souhaité respecter ce qui est pour moi l’esprit de Woody Allen, et de ses influences (notamment les Marx Brothers) : un joyeux désordre très organisé.

Huit comédiens se partagent les différents rôles dans une énergie, une inventivité et une folie débordantes.

L’idée a été de préserver l’interactivité avec le public, qui est le cœur de la pièce, et qui permet la rencontre anachronique entre des personnages de théâtre issus de la Grèce Antique et des spectateurs du lieu et du temps présent. Le public va de surprises en surprises, pris à parti par les comédiens, parfois placés à leurs côtés, et qui interviennent directement de la salle.

Il s’agit en fait d’une pièce dans une pièce ; un feu d’artifice d’absurde, drôle, populaire et inattendu.