Cirque Gosh - Vladjalo

Paris 19e
du 12 septembre au 1 octobre 2006
1h30

Cirque Gosh - Vladjalo

Le passage des habitués et des clients occasionnels d'un bistrot nous entraîne dans un univers surréaliste, burlesque et poétique. Gosh continue avec plaisir de mélanger les genres : cirque, théâtre, musique, et masques pour concocter un spectacle tout public et ludique.

Spectacle en forme de collage dadaïste
Le collectif Gosh : une démarche de mixité
La Compagnie Gosh : 15 ans d’existence

  • Spectacle en forme de collage dadaïste

Vladjalo se passe dans un bistrot, comme il pourrait en exister dans tous les recoins du monde. Au milieu de la salle, la table ronde devient quelques instants, la petite piste d’un cirque idéal dont le bar est la barrière. Le passage des habitués et des clients occasionnels rythment cette journée particulière, mais pas exceptionnelle, nous entraînant dans un univers surréaliste, burlesque et poétique. Ici vivent et se côtoient des personnages dont les comportements oscillent et même basculent dans l’absurde.

Dans ce spectacle en forme de collage dadaïste, où textes, sons et musiques se donnent la réplique, la patronne, sorte de “madame loyale” mène la danse. Sous son regard bienveillant se mêlent et se succèdent : son fils, personnage-volatile en quête de liberté, une habituée suspendue au comptoir autant qu’à sa corde, un pilier de bar habitant du zinc, un représentant de commerce qui court après ses valises et un vieil habitué, un doux-dingue, une mère exténuée, un serveur musicien… Chacun déroule le fil de son histoire.

Gosh continue avec plaisir de mélanger les genres : cirque, théâtre, musique, et masques pour concocter un spectacle tout public et ludique.

Equilibres : Valérie Garçon
Corde lisse : Céline Berneron
Clown, jongleur : Eric Muller
Jonglerie : Tibo Schoirfer
Fil souple : Ignacio Herrero-López
Comédien : Grégoire Barbedor
Basse, contrebasse et trombone : Erik Jankowsky
Piano, chant: Livi Loricourt
Batterie, percussions : Jérôme Bossard

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  • Le collectif Gosh : une démarche de mixité

La démarche de la compagnie Gosh est avant tout un travail sur les personnages et le jeu clownesque. Cette approche conduit à des spectacles où l’humain est au cœur du projet et où cirque et musiques se mêlent pour construire un univers particulier. Les techniques circassiennes, les éclairages, le sonore deviennent des procédés narratifs, machines à distiller du merveilleux, de la fantaisie, du tendre, du loufoque.

Dans le travail du collectif Gosh, les relations entre acteurs et spectateurs sont privilégiées en s'appuyant sur des personnages excentriques, clownesques et à caractères.

Au fil des créations, la musique et les sons s’organisent en évitant les clichés pour souligner et appuyer les histoires, grâce à la virtuosité excentrique des musiciens qui ne sont pas seulement accompagnateurs de numéros, mais compositeurs des humeurs et de l’ambiance.

Depuis 1990, des artistes aux origines, spécialités et univers très variés rendent les spectacles toujours plus originaux. Ils sont musiciens autant qu'acteurs, acteurs autant que clowns, clowns autant que chanteurs, cascadeurs, acrobates, trapézistes, jongleurs, équilibristes, fil-de-féristes, poètes…

L’envie de la compagnie à ce jour est de varier et de développer le rapport avec le public. Au début, la compagnie se produisant uniquement dans des théâtres, le rapport était frontal. Puis vint le temps des chapiteaux ; avec Pelahueso le public assit à des tables occupait tout l’espace se retrouvant au coeur du spectacle. Pour Vladjalo, c’est un rapport plus classique, le spectacle est au centre, le public tout autour.

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  • La Compagnie Gosh : 15 ans d’existence

En 1989, quelques artistes berlinois décident de s’unir pour monter un spectacle. Certains sont déjà professionnels, les autres se lancent. La troupe se forme, le premier spectacle voit le jour, Artistic In Concert. L'éclectisme musical est déjà présent : balade, tango, valse… avec beaucoup d'humour, de fantaisie et une énergie communicative. La vie du cirque Gosh débute ; certains la partageront le temps d’une création, d’autres suivent encore la route aujourd’hui.

De ces rencontres polymorphes naissent 6 spectacles qui passent de salles en chapiteaux et dans lesquels évoluent entre trois à dix-huit personnages en piste, sur terre ou dans les airs. Après 15 ans d’existence, le cirque Gosh, c’est des petits et des grands drames, quelques centaines de milliers de kilomètres parcourus ensemble, mais surtout le plaisir de partager leur art et leurs envies avec le public ; d’abord en Allemagne les premières années, puis en Angleterre, en Suisse, en France, en Italie…

Les anciens spectacles :

Artistic in concert (1990/1993) : une création à travers laquelle les artistes de la Compagnie Gosh ont eu pour objectif de parcourir des voies nouvelles et innovantes, différentes des spectacles de cirque classiques. En alliant cirque et musique dans un programme qui a rapidement été étiqueté « nouveau cirque et cirque des années quatre-vingt-dix ».

Shak edi bobo (1994/1996) : le titre indique à nouveau le rythme de la musique avec pas moins de six musiciens sur scène, pour nous raconter une journée passée dans un squat, laissant place à des scènes absurdes et hilarantes.

Poignée de femme (2001/2004) : avec le trio de femmes-acrobates, les Flyings Sisters, co-fondatrices du Cirque Gosh. Trois femmes qui racontent les différentes étapes de leur vie, tout en danse, en acrobatie et en musique

Made in paradise (1997/1999) : le dieu n'est pas mort, d’ailleurs il s'ennuie un peu au Paradis. C'est pourquoi il charge quelques « angelines » qui sont également acrobates et contorsionnistes, d’organiser une fête dans le jardin d’Eden, que Lucifer ne peut naturellement pas manquer. Arrivent alors six humains musiciens qui ont gagné un voyage au paradis.

Pelahueso (2000/2003) : un bar, un boudoir, des serveurs échappés d’une pellicule des années 30 qui s’activent pour servir des rafraîchissements : la scénographie cultive le doute. Scènes de vie qui se font et se défont comme des bulles de savon, drames et amours imaginaires, ici se tricotent les fils d’une étrange dramaturgie que rythme un orchestre de poche : guitare, violon, contrebasse, batterie.

Vladjalo (2005/2006) : avec cette nouvelle création, la Compagnie Gosh continue avec plaisir à mélanger les genres cirque, théâtre, musique, masques pour un spectacle tout public et ludique.

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Sélection d’avis du public

Cirque Gosh - Vladjalo (sous chapiteau) Le 24 août 2006 à 14h29

Merveilleux!L atmosphère est loufoque et quand on sort de la les personnages nous poursuivent encore .Ce spectacle m'a énormément touché je dis merci au cirque gosh et leur souaite longue et belle vie' meme si ce n'est pas tout le temps facile pour les compagnie de cirque de nos jours.

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Cirque Gosh - Vladjalo (sous chapiteau) Le 24 août 2006 à 14h29

Merveilleux!L atmosphère est loufoque et quand on sort de la les personnages nous poursuivent encore .Ce spectacle m'a énormément touché je dis merci au cirque gosh et leur souaite longue et belle vie' meme si ce n'est pas tout le temps facile pour les compagnie de cirque de nos jours.

Informations pratiques

Cabaret Sauvage

211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Chapiteau Restaurant Villette
  • Métro : Porte de la Villette à 540 m, Porte de Pantin à 761 m
  • Tram : Ella Fitzgerald à 305 m
  • Bus : Porte de la Villette à 400 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Cabaret Sauvage
211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 1er octobre 2006

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