Explorer les figures de l’idiotie et le rapport qu’elles entretiennent avec le monde d’aujourd’hui, tel est le point de départ de la nouvelle création de Toméo Vergès, chorégraphe catalan et artiste inclassable, capable de faire jeu de tout.

Explorer les figures de l’idiotie et le rapport qu’elles entretiennent avec le monde d’aujourd’hui, tel est le point de départ de la nouvelle création de Toméo Vergès, chorégraphe catalan et artiste inclassable, capable de faire jeu de tout.

Explorer les figures de l’idiotie et le rapport qu’elles entretiennent avec le monde d’aujourd’hui, tel est le point de départ de la nouvelle création de Toméo Vergès, chorégraphe catalan et artiste inclassable, capable de faire jeu de tout.

A la recherche d'un nouveau type de relation entre musique et danse, Catherine Diverrès a mis en place un processus d'improvisation élaboré à partir de principes formels communs - unité, opposition, accumulation, transformation, terre, ciel... Au gré des thèmes choisis, des corps à corps, des mouvements de meute, des instants de solitude dessinent des fugues abstraites - traversées de moments rituels, quotidiens ou imaginaires. Scandant ces lignes, le saxophoniste et le batteur se déplacent, ils voyagent dans l'espace et la matière sonore, passant de l'énergie extatique à la méditation.

Catherine Diverrès interroge le corps, celui dans son état quotidien et l’autre, celui qui se dilue dans une masse, des manifestations de rue aux raves, ou se régénère à l’écriture chorégraphique comme source d’énergie. De cet essai poétique qui prend la liberté et la captivité, l’individualité et la collectivité comme points de repère évidents, on attend beaucoup.

Depuis déjà presque vingt ans, Catherine Diverrès tisse un à un les fils de son univers, danse charnelle, abstraction poétique, théâtre des corps. Loin de toute mode surtout. Philippe Noisette

Article premier : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droit. « ... Telle est ma seule consolation. Je sais que les rechutes dans le désespoir seront nom-breuses et profondes, mais le souvenir du miracle me porte comme une aile vers un but qui me donne le vertige : une consolation et plus grande qu’une philosophie, c’est-à-dire une rai-son de vivre. »