Dans la pièce Hasard, Pierre Rigal invite six danseurs, comme les six faces d’un dé, et compose avec eux des partitions géométriques qui, par surprise ou heureuses coïncidences, créent des situations dansées poétiques, drôles et troublantes.

Voici le trio formé par Rodolphe Burger et sa guitare blues, Sofiane Saidi et son raï electro et Mehdi Haddab, surnommé le Hendrix du oud. Avec « Mademoiselle », ils nous embarquent à l’endroit où le Mississippi se jette dans la méditerranée pour un concert hommage à Rachid Taha.

Musiciens et producteurs, Asynchrone réunit des musiciens issus des scènes du free jazz et de l’électro, ici pour un hommage au compositeur Ryuichi Sakamoto.

En déplaçant à nouveau des pièces issues du grand champ des musiques anciennes vers son univers actuel et très personnel, Bruno Allary continue de mettre en évidence la capacité de ces répertoires à demeurer en mouvement.

Yury Revich a imaginé un concert ambitieux et éclectique à l’image de son parcours : à mi-chemin entre le classique et l’électronique, mélangeant différentes disciplines artistiques, il interprétera sa musique originale, accompagnée d’un orchestre de chambre.

A partir de 7 ans

Avec trois danseurs et un DJ sur le plateau, la chorégraphe Christina Towle fusionne le geste sportif du basket, la danse contemporaine teintée de hip-hop et la musique électro live pour un « ballet match » physique et rythmé.

Marion Motin, l’une des pointures internationales de la danse hip-hop, embarque sa meute d’interprètes dans un thriller aquatique haletant.

Mettant dos à dos sa contrebasse et ses synthétiseurs analogiques, Florentin Ginot dialogue avec les images allégoriques de la cinéaste allemande Janet Sinica. Le parasitage, le glitch et le bug forment une langue musicale qui invite à suivre nos égarements. Côté caméra, une déambulation fait naître des personnages muets, des figures antiques, cocasses. Dans ce bain de réminiscences, les fragments musicaux rencontrent les claquements cinétiques de l’électronique.