Librement adapté du roman de Benoîte Groult Les Vaisseaux du coeur, Marée haute est l’histoire de cet inépuisable désir qui abolit les distances sociales, culturelles et géographiques. Le récit audacieux d’une femme libre qui ose parler de la jouissance sans tabous.

La tresse, le roman de Laetitia Colombani, a bouleversé Helene Arden (auteure, comédienne) qui en a fait une fidèle adaptation. Elle incarne sur scène ces 3 femmes, et leur volonté de vivre, de survivre. Un puissant message d’espoir, d’humanisme, de solidarité universelle, mis en scène par Valéry Rodriguez.

Plongez dans l'intimité de Meursault, cet Etranger fascinant, assassin malgré lui, coupable de n'avoir pas pleuré à l'enterrement de sa mère.

Voyez-la, cette condamnée à mort qui oscille entre réalité et folie. Son exécution est inévitable. Le chemin à parcourir pour y accéder, infernal.

L'humoriste et comédien Cyril Garnier se dévoile dans un seul en scène très personnel. L'histoire à la fois touchante, drôle et émouvante d'un artiste qui rêve d'aller un jour dans l'espace pour retrouver son père disparu. Cette conférence autobiographique embarque le public à la conquête de l'univers.

Judith Magre incarne l’ancienne secrétaire personnelle de Joseph Goebbels durant la Seconde Guerre Mondiale, qui a attendu l’âge de 102 ans pour livrer ses souvenirs. C’est le portrait d’une femme touchante et ambigüe qui assure n’avoir jamais rien su de la solution finale.

Isabelle Andréani a adapté pour le théâtre une nouvelle de Gustave Flaubert et l’incarne avec toute la force émotionnelle et lumineuse qu’on lui connaît. Xavier Lemaire l’accompagne dans une mise en scène fluide et charnelle.

Warren Zavatta fait le récit hilarant du triomphe de son précédent show et des lourdes conséquences de ce succès sur sa vie personnelle. Assumant un humour, tantôt sarcastique, tantôt potache, il évoque les frasques qui le mèneront directement de l’ovation à la prison, en passant par la case unité psychiatrique.

« Un désir violent...vous devez connaître ce que c’est,non ? » À partir de 16 ans.

C’est dans l’envie de prolonger le plaisir et de le partager, qu’est né ce spectacle autour de Marcel Proust. Les images du souvenir, choisies et assemblées selon la logique d’un puzzle merveilleux, ouvrent une porte inédite sur l’un des plus éblouissants monuments de la littérature moderne.

Le dernier jour d'un condamné de Victor Hugo nous met en présence d'un condamné à mort, coupable d’un crime de sang. Cet homme mérite-t-il ce châtiment ?

La stupéfiante destinée d’un fonctionnaire russe qui devient roi d’Espagne !

En 1976, Romy Schneider la grande actrice de cinéma, rencontre la journaliste féministe Alice Schwarzer à Cologne pour lui livrer un récit intime et sans fard. Son contenu n'est révélée que quarante-deux ans plus tard.

15 Mai 2021. Clara a 25 ans. Elle est étudiante. Elle ressent un besoin de s’exprimer : sur elle, son passé, sa famille… 15 Mai 1919. Rosina a 15 ans. Elle vit à Aurigo, un petit village reculé du nord de l’Italie, dans un pays au fascisme naissant. Elle ressent le besoin de s’enfuir…

Un seul en scène FID. Fin, Intelligent et Drôle. Télescopage chamboule tout le monde et réconcilie ce que l’on croyait définitivement antagoniste. Le récit ne laisse pas de répit au spectateur qui est pris de bout en bout par des situations d’une inventivité saisissante. On compte les points, on sourit, on rit, on s’émeut, finalement on est heureux !

Les Ritals de François Cavanna ce sont les Italiens venus en France pour travailler entre 1930 et 1940. Fils d’un maçon italien et d’une femme de ménage française, Cavanna se souvient de ses 400 coups avec ses copains à Nogent-sur-Marne, le cinéma, les fugues, les filles, l’amour des livres. Drôle, chaleureux et émouvant... un spectacle salutaire. Avec Bruno Putzulu.

Figure des anarchistes individualistes de la Belle Époque, Anna Henriette Estorges alias Rirette Maîtrejean tenta d’incarner leur idéal politique : une vie libre, l’égalité des sexes et le refus de l’exploitation.

Seul en scène drôle et sensible, Le Premier Sexe propose une version empirique au Deuxième de Beauvoir, interrogeant le mythe d’un genre en riant de tout ce qu’il implique pour mieux s’en affranchir.