Jean-Claude Pennetier, le doyen de l’école française du piano, fête son 80e anniversaire. Au programme, Haydn, Schubert, Beethoven, Mozart… sans oublier Debussy ou Fauré…

La jeune russe Alexandra Dovgan dans la cour des grands en compagnie de Schumann et Brahms.

Les plus beaux airs de Chopin au piano.

Peu d’artistes sont aujourd’hui capables de vous envouter comme un «  Farinelli » si ce n’est Mathieu Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges ; il va faire revivre le répertoire d’arias, d’airs sacrés et d’airs d’opéra, composés pour les grands castrats par Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell. Un hommage aux castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues.

L’étonnant Fazıl Say et son insatiable curiosité pour de nouveaux horizons, ici de Haendel à son dernier Opus 99.

Un récital marathon, une présence scénique rare, des textes puissants qui ressemblent à des tableaux impressionnistes (Quai de Valmy, Il neige, La pluie…).

Le concert des artistes de l’Académie sur la scène du Palais Garnier est l’un des moments forts de la saison pour les chanteurs, pianistes et musiciens en résidence.

Le ténor allemand Christoph Prégardien livre un programme Schumann audacieux. Le pianiste britannique Julius Drake le suivra lors de ce parcours quasi métaphysique propre aux oeuvres du compositeur.

Le timbre de Philippe Jaroussky magnifié par les cordes pincées de Thibaut Garcia.

Le programme visionnaire et tout en nuances d’Alexander Melnikov.

Le pianiste Jean-Philippe Collard revient à son premier amour, Fauré, avant de laisser place à Chopin et Scriabine.

Concert de musique de chambre par les musiciens de l’Orchestre de l’Opéra national de Paris.

L’Opéra national de Paris confie une carte blanche à son directeur musical, Gustavo Dudamel, avec l’Orchestre de l’Opéra national de Paris et des artistes de l’Académie. Un programme aux rythmes et couleurs de l’Espagne et de l’Amérique du sud dans l’écrin du Palais Garnier.

Sunwook Kim en solitaire pour célébrer Schubert, Albéniz et Liszt.

La soprano Sandrine Piau navigue avec bonheur sur toutes les mers. Avec le pianiste David Kadouch, ils proposent un ambitieux programme où les lieder et les mélodies se mêlent et se confrontent autant qu’elles tracent un arc historique, de Schubert à Lili Boulanger en passant par Schumann ou Debussy.

Le norvégien Leif Ove Andsnes pour un programme Schubert, Beethoven et Dvořák.

Igor Levit entre tradition romantique et esprit jazz.

Toute la musicalité de Benjamin Grosvenor pour un rendez-vous dominical sous forme d’hommage.

Christian Zacharias fait dialoguer deux pièces majeures de Tchaïkovski et Schubert.

Les Madeleine du 7e art du pianiste Alexandre Tharaud. Son programme « les films de ma vie » regroupe le Gotha des compositeurs qui ont participé à la magnificence des œuvres et deviennent désormais des « classiques » à part entière.

Deux générations pour partager une même passion musicale, Dang Thai Son et Bruce Liu à deux et quatre mains.

Aux côtés du pianiste polonais Maciej Pikulski, ancien accompagnateur de José Van Dam, spécialiste du lied mais aussi de la mélodie française, Laurent Naouri s’aventurera dans ce dernier territoire, avec un programme faisant la part belle aux poètes.

Premier rendez-vous avec Nikolaï Lugansky pour son intégrale Rachmaninov.

La pianiste Anna Vinnitskaya entre la virtuosité de Chopin et les couleurs de Ravel.

Les frères prodiges néerlandais Lucas et Arthur Jussen pour une matinée piano à quatre mains.