Biopic, Seul(e) en scène

Franck Desmedt incarne le fougueux écrivain Joseph Kessel et invite le public à découvrir sa vie et ses récits de voyage. La mise en scène habile et l’écriture ciselée nous plongent dans un spectacle plein de poésie. On est subjugué par l’interprétation habitée de ce comédien formidable à la diction envoûtante et au phrasé poignant. Marquant !

Un seul en scène épique et satirique sur la vie d'Angela Merkel. Distribution en alternance.

Jean Zay, l’homme complet, le destin foudroyé d’un homme politique exemplaire, grande figure du Front Populaire. Un seul en scène bouleversant, remarqué aux deux dernières éditions du festival d'Avignon.

Le spectateur est plongé dans l'atmosphère de Saint-Germain-des-Prés dans un Paris festif et jovial. Brigitte Bladou fait revivre le "Castor" comme l'appelait Jean-Paul Sartre. Ses amours, passions, combats politiques et écrits d'une brulante actualité sont interprétés avec humour et émotion.

Coline nous raconte sa belle histoire. Elle revient sur son parcours tout en partageant ses meilleures anecdotes de théâtre, de cinéma ainsi que des ratages désopilants.

Au soir de sa vie, l’Empereur Hadrien tente de porter un regard lucide sur l’existence en revisitant ses propres souvenirs, de ses triomphes militaires à ses passions amoureuses, en passant par les beautés de l’art et les plaisirs du corps.

Venez, on part en voyage autour du monde en bateau… « Je continue sans escale vers les îles du pacifique parce que je suis heureux en mer et peut être aussi pour sauver mon âme. »

Christine Murillo, la comédienne aux quatre Molières, donne chair toute en fantaisie aux textes de Pauline Carton, actrice mythique du début du siècle dernier. Un seule en scène léger où les bons mots fleurissent avec joie.

Un roman en suspens ? Colette ruse, esquive. Au cœur de la bataille, surgissent soudain des pans de sa vie. Un voyage vagabond, facétieux et tendre.

Une femme raconte son enfance, les rires, la guerre, l’inceste, le music-hall, Nantes… et « la folie de chanter » ! C’est Barbara.

« Écrire au sujet de mon père, sa vie, et cette distance venue à l’adolescence entre lui et moi. Une distance de classe, mais particulière, qui n’a pas de nom. Comme de l’amour séparé. » Annie Ernaux. À partir de 14 ans. 

Qui était Louise Weber dite « La Goulue », icône du Paris de la Belle Époque ? Delphine Grandsart entraine le public avec gouaille et passion dans cette histoire méconnue.