La danse de mort

• Jeu de massacre

Dans une citadelle sur une île de garnison isolée, un capitaine autoritaire et sa femme, ancienne actrice, s’apprêtent à fêter leurs noces d’argent lorsque débarque un vieil ami. Ce trio infernal se livre alors à une danse effrénée qui oscille entre tragédie et comédie : folie banale, souffrances et petits arrangements… Ce jeu de massacre débordant de férocité et de mauvaise foi, entre amour et haine, est-il effroyable ou cruel ? Certes. Grotesque ou risible ? Aussi.

Traduction de Terje Sinding.

• La presse

« Le résultat spectaculaire qu'il faut faire rimer avec crépusculaire offre une vision ironique de ce couple qui semble jouir en se faisant mal.(...) Le regard du metteur en scène justement éclaire ces ombres (...) C'est fascinant ! » Evelyne Trân, Blogs Le Monde, 9 octobre 2017

« Dans une mise en scène épurée et une belle traduction de Terje Sinding, Stuart Seide monte la pièce haletante du maître suédois August Strindberg. » Florent Barbera, Le souffleur, 9 octobre 2017

« La farce universelle. Le spectateur partage alors le plaisir de jouer des comédiens et c'est dans une complicité malicieuse qu'il applaudit très fort cette joie de vivre paradoxale qui lui est montrée et qui n'est qu'un songe plein d'ironie. Du théâtre. » Jean Grapin, Revue-spectacles, 6 octobre 2017

« On rit beaucoup devant ce jeu de massacre délirant : Stuart Seide se garde bien de faire des personnages de Strindberg des neurasthéniques ennuyeux ou de vains excités. Ils sont génialement méchants et ne provoquent ni pitié ni mépris. On s'aime parfois comme cela... » Catherine Robert, La Terrasse, 29 septembre 2017