King Lear Syndrome ou les Mal élevés

• Un syndrome de toute puissance

Une robe de mariée, du champagne, de la musique classique... Un vieux père marie la benjamine de ses filles, Cordélia. Pendant la fête, il fait un malaise. Lorsqu’ il reprend ses esprits c’est pour parler de « royaume » et de « malédiction ».  Il délire, et ses filles le placent en EHPAD.

Placer en EHPAD le vieux le plus fou de la littérature, c’est s’attaquer au fond obscur des choses, des âmes, des soignants et des soignés. Les émotions débordent, la folie guette, à moins que ce ne soit la vie, tout simplement.

Création du TGP en janvier 2022, spectacle salué par la critique.

• La presse

« Elsa Granat revisite Shakespeare avec une intelligence suraiguë et réalise un absolu chef-d’œuvre sur la vieillesse et le rapport que nous entretenons à la décrépitude, la déchéance et la mort. A voir absolument ! » La Terrasse

« Les émotions débordent, partout la folie guette, à moins que ce ne soit la vie, tout simplement. La force brute, l’inavouable, l’intransigeante qui persévère au-delà des idées, des croyances et des limites, la furieuse envie de vivre. » Sceneweb

« Elsa Granat s’empare de la figure du Roi Lear pour évoquer le grand âge et la dépendance. Un spectacle profond sur le crépuscule de la vie. » La Croix

« Grouillant d'énergies, de rêves et de cauchemars, le spectacle nous ramène insolemment à la vie, via quelques acteurs rares, dont Bernadette LeSaché. Grâce à eux, la mort si vivante se fait magnifique spectacle : notre ultime et radicale meilleure scène. » Fabienne Pascaud, Télérama