El ultimo diario

Spectacle en espagnol latino-américain.

Tout comme César Vallejo, José María Arguedas est né dans les Andes péruviennes, c’est donc aussi un « cholo ». Un « zorro de arriba », un renard de là-haut, des montagnes. Tous deux ont contribué à faire connaître l’immense richesse de la culture indienne. Le poète est mort dans la misère à Paris, le romancier a choisi de se donner la mort à Lima.

Le journal posthume de José María Arguedas nous révèle que sa révolte sociale était la même que celle de Vallejo, une révolte qui refuse l’effacement de la culture autochtone par une culture colonisatrice.