La porte s’ouvre. Richard entre soudainement dans la vie d’Eddy. À moins que ce ne soit l’inverse ? Face à face au milieu du salon, chacun l’affirme : « ici, c’est chez moi ». Qui dit vrai ? Ce qui est certain, c’est qu’il n’y a plus assez de chocolat pour deux. Va-t-il falloir apprendre à partager ? Dans les murs s’empare de la question du mal-logement avec suspense et humour.
« Tout a commencé par une discussion avec les bénévoles d’un centre Emmaüs. Ils m’ont appris une chose que j’ignorais : depuis quelques années, parmi les gens sans domiciles, on en croise de plus en plus qui ont un travail. Sous-payé, parfois à temps partiel, parfois non-déclaré, mais un travail. Ils travaillent et cotisent, donc, mais la flambée de l’immobilier et la dégradation des salaires sont telles qu’ils ne parviennent pas à trouver un logement. » Vincent Farasse
2 bis, Passage La Ruelle 75018 Paris