Bushman - Voyage pour petits et grands au cœur du désert du Kalahari !

Spectacle tout public et familial à partir de 6 ans. Un tarif pour les moins de 26 ans est disponible au théâtre.

• Voyage initiatique pour petits et grands !

Un spectacle visuel qui sort des sentiers traditionnels pour suivre la piste d’un peuple ancestral, d’un petit homme avec une flèche et un arc. Eric Bouvron nous raconte une histoire proche du conte. Entre rire et larme. Rire, parce qu’on y croise des phacochères improbables, des fourmis besogneuses qui font office de machine à laver les œufs d’autruche. Larme, parce que « homme blanc » passé par là, casse l’harmonie avec son gros quatre-quatre et ses souliers vernis.

Le spectacle ressemble aux bushmen qu’il décrit : gai, simple, sans jugement, inventif, et curieux. Il garde un bout de cette enfance et prolonge l’histoire du peuple bushman, l’un des tout premier ayant vécu sur la planète. Pour raconter leur façon d’être, leur respect de ce qui les nourrit, les animaux et la nature, leur légèreté et leur (presque) absolue capacité d’adaptation, Eric Bouvron est parti vivre parmi eux dans le désert du Kalahari.

Une émotion inattendue éclairée par les feux du clan !

• Une fascination à partager

De père français et de mère grecque, Eric Bouvron est né Egypte mais a grandi en Afrique du Sud. Le soleil, les grands espaces, le théâtre et la danse lui façonnent une enfance idyllique et émerveillée.

« Je me souviens d’avoir vu, en Afrique, un petit bonhomme assis. Avec son corps, ses mains, son être entier, il imitait la chasse d’une antilope en émettant des sons hypnotiques. Il avait un arc et une flèche. C’était un bushman. La précision et la justesse avec laquelle il racontait ce moment sont restées chevillées à ma vie d’adulte. C’est peut-être de là que m’est venue l’envie de jouer, de créer… »

Son spectacle garde un bout de cette enfance et prolonge l’histoire du peuple bushman, l’un des tout premier ayant vécu sur la planète. Pour raconter leur façon d’être, leur respect de ce qui les nourrit, les animaux et la nature, leur légèreté et leur (presque) absolue capacité d’adaptation, Eric Bouvron est parti vivre parmi eux dans le désert du Kalahari.

Il en a ramené un texte, un spectacle, une fascination à partager avec le public occidental et consumériste, certes, mais aussi lointain cousin de ce peuple pacifiste et tolérant. Mais pas question de moraliser sur la disparition annoncée des bushmen, c’est bien d’un divertissement dont il s’agit ici. Et d’ailleurs, le créateur s’agite (une performance sportive d’une heure vingt) et agite toutes les formes d’art pour évoquer ou mieux, invoquer, ses vieux amis bushmen : danse, musique, théâtre, ombres chinoises, peinture, vidéo… Et la magie opère à hauteur d’humour et l’âme occidentale semble retrouver un peu de sa fraîcheur ancestrale.