Abou Diarra arpente les scènes du monde entier avec son kamélé n’goni, un luth malien ancestral qu’il fait sonner tantôt comme une guitare, une basse, une harpe ou une percussion. En langues mandingue et bambara, il chante l’exil et le voyage. Fort de ses rencontres, il ajoute peu à peu à son blues quelques touches d’électro et trouve l’équilibre parfait entre tradition et modernité.
« Une majestueuse virée en terre de blues mandingue » Télérama
« Des ballades intimistes et nostalgiques mais aussi des rythmes fougueux. » RFI Musique
« Un des plus beaux albums de musique métisse de l'année. Une poésie, une grâce… » Fip
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