Clémence Pavageau
CNSMDP (Conservatoire national supérieur de musique et danse de Paris) 2013
CESMD (Cycle d’Enseigne ment supérieur musique et danse), Poitiers 2010
AID (Académie internationale de la danse, Paris 2008
Ecole de formation les arts vivants, Paris 2007
Nationale 666, Lilian Lloyd 2013
Odetta chante, mise en scène de Clémence Pavageau (Théâtre de La Reine Blanche, Paris. Festival Delta, Rennes, festival Avant-Scène, Cesson Sévigné, Le Laurette Théâtre, Avignon, festival Métissez
Vous, Taverny, Centre Culturel de Taverny, Palais des Congrès de Loudéac 2012/13)
Compagnie Jean Magnard, conservatoire de Poitiers, maison des étudiants de Poitiers, 2012
Création de la compagnie DiverSenS, centre culturel de Taverny, 2011/12
Les Rencontres Urbaines, La Villette, compagnie TST, 2001
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Clémence Pavageau
Johan Amselem - Vilains
Mains d'Œuvres, Saint-Ouen
MUSIQUE & DANSE
Danse contemporaine
Familial
Conte
Électro
Pop, rock & folk
Terminé
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Chorégraphie :
Johan Amselem
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Avec :
Dorothée Goxe,
Clémence Pavageau,
Antonin Chediny,
Paolo Provenzano,
Jason Rodanet
Enfants, petits et grands, ne vous êtes vous jamais sentis pas comme les autres ? Parfois au point d’en être malheureux ? Montrés du doigts ? Approchez ! Approchez ! Ecoutez l’histoire du vilain petit canard ! L’histoire de celles et ceux dont on se moque, à qui on tire les cheveux, quand ils en ont. Celles et ceux qu’on met à l’écart, qu’on maltraite parfois. Une histoire de différence, de peine, de courage et de joie. Venez découvrir que vous êtes uniques et que nous sommes tous différents, tous des vilains petits canards, souillons, pas beaux, bras cassés, fragiles, ridicules, maladroits, tellement humains. Tout public dès 6 ans.
Notre besoin de consolation est impossible à rassasier
Déchargeurs, Paris
du 9 janv. au 8 févr. 2014
40 minutes
CONTEMPORAIN
Terminé
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De :
Stig Dagerman
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Mise en scène :
Assane Timbo
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Avec :
Assane Timbo,
Clémence Pavageau
Le cri de désespoir d’un homme brillant arrivé au bout de lui-même, à bout de forces, vidé par ses multiples tentatives d’être heureux. Plus qu’un cri, ce chant, tant la langue en est maîtrisée et les images précises, laisse sourdre la douleur d’une enfance déchirée par l’abandon, par l’absence d’une mère, et de bras dans lesquels s’endormir paisiblement.