Catherine Fantou-Gournay

Catherine Fantou-Gournay

Musicienne, actrice et auteur dramatique, elle produit et réalise pendant 4 ans l’émission pour enfants de Radio Notre Dame. Elle écrit et joue « Le cri de la miséricorde », « La bienheureuse passion de Notre Seigneur Jésus-Christ, Ieshoua le galiléen » . Elle écrit les textes du « Rosaire pour l’enfant », peint par Anne Françoise Carouge, écrit et réalise « le Rosaire de l’artiste » pour Paray-le-Monial, ainsi qu’un scénario de long métrage « Pomogui », traduit en russe.

En Avril 2000 elle monte un spectacle autour des « classiques » pour la ville de Sarov en Russie puis participe à l’été 2001 au premier festival franco-russe de Sarov-Diviéiévo où elle joue et anime des master-classes. 

En Janvier 2002, elle donne à l’Eglise Saint-Etienne du Mont une lecture-spectacle du « Mystère de la compassion de Sainte Geneviève pour Paris ».

Elle prépare actuellement pour Sarov un colloque Paul Claudel. Parallèlement elle anime des sessions Art et Foi sur le thème « Chemins de libération, de guérison et de communion »

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Catherine Fantou-Gournay

La conversion ou l'épreuve d'un coeur

Espace Georges Bernanos, Paris

du 17 déc. 2002 au 18 févr. 2003
1H30
CLASSIQUE Terminé
  • De : Paul Claudel
  • Mise en scène : Catherine Fantou-Gournay
  • Avec : Jean-Luc Solal
Nous sommes à la fin du XIXème siècle. « Dieu est mort », Nietzsche vient de le proclamer ; Rimbaud entame sa « Saison en Enfer ». C’est sûr, la science fera le bonheur de l’homme. C’est le triomphe des lois et de la nécessité : lois de la nature (naturalisme), de la science (positivisme), de l’argent (affairisme). Mais où donc est la liberté de l’homme ?
La conversion ou l'épreuve d'un coeur

Espace Georges Bernanos, Paris

du 2 oct. au 30 nov. 2002
1H30
CLASSIQUE Terminé
  • De : Paul Claudel
  • Mise en scène : Catherine Fantou-Gournay
  • Avec : Jean-Luc Solal
Nous sommes à la fin du XIXème siècle. « Dieu est mort », Nietzsche vient de le proclamer ; Rimbaud entame sa « Saison en Enfer ». C’est sûr, la science fera le bonheur de l’homme. C’est le triomphe des lois et de la nécessité : lois de la nature (naturalisme), de la science (positivisme), de l’argent (affairisme). Mais où donc est la liberté de l’homme ?