Sans cirque fixe

A partir de 6 ans.

• Un spectacle clownesque drôle, touchant, étonnant et poétique

Mais qui est donc ce curieux personnage assis sur un banc, à côté du réverbère ? Un matin, le cirque est parti en abandonnant le pauvre clown. Le clown s’est installé dans la rue et il a décidé de ne pas être triste. Il chante, il danse et raconte ses aventures. Les enfants deviennent les complices et amis du clown qui a perdu son cirque. Ils découvrent un vieil instrument de musique, l’orgue de barbarie et s’amusent en chantant avec la pie !

Un savant mélange de petites histoires drôles remplies d’humour et de poésie avec un personnage tendre, émouvant, qui sensibilise les enfants aux gens de la rue.

Par la Compagnie Sortie de secours Théâtre.

• La presse

« Ce solo clownesque crée des ponts entre le monde de l’enfance et celui de la rue. La blague enfantine succède à la poésie du vagabond, la joie d’un rien à la nostalgie du tout. » F. Sabatier-Morel, Télérama

« Une franche rigolade, un clown poétique, du spectacle vivant quoi ! qu’on ne saurait trop recommander. » Rives de Scène

« Un seul artiste sur scène, poète touchant, conteur et musicien doué qui capte l’attention des enfants en les faisant rire et chanter. » Lamuse.fr

«  Un joli spectacle humain qui mélange les genres en passant du cirque au théâtre avec des petites touches musicales. Idéal pour des enfants en plein âge de raison » Sortir à Paris

• La petite histoire où tout a commencé ...

Il était déjà tard, nous étions en tournée au Kennedy Center, ce très beau théâtre à Washington. Cette grande ville, où des gens vivent dans un château et d’autres sous un plastique. Une réalité bien triste et insupportable. Accompagné d’une camarade de jeu, au coin d’une rue qui nous ramenait à l’hôtel, un grand bonhomme de couleur avec un énorme sourire, faisait la manche malgré l’heure tardive. Sans réfléchir, je dis à ma camarade, « zut ! je n’ai plus de monnaie ! » En français presque sans accent, le grand bonhomme me répond, « garde ta monnaie, sinon demain c’est toi qui sera à ma place ! ». C’est à ce moment là que j’ai eu l’idée d’écrire l’histoire d’un clown qui n’a plus de cirque, mais qui garde sa bonne humeur, son sourire et ses rêves.

Bruno Denecker