Salut Brassens

le 14 janvier 2006
1h45

Salut Brassens

Joël Favreau accompagna, douze ans durant, Georges Brassens en scène et en studio d’enregistrement. C’est lui la deuxième guitare. Il interprète avec grâce ces textes que nous connaissons tous et que nous avons follement envie de fredonner avec lui.
  • Chansons du maître

Peut-on encore surprendre en reprenant les célèbres chansons de Georges Brassens ? Oui ! Joël Favreau le prouve avec talent après avoir tenu pendant douze ans la deuxième guitare à l’ombre du maître.

La voix est chaude et bien timbrée, l’articulation exemplaire et la guitare alerte. Joël Favreau invite les spectateurs à reprendre avec lui les morceaux dont les paroles reviennent aux lèvres de tous.

« Brassens, Joel le connaît musicalement de l’intérieur. » Maxime Le Forestier

  • La presse

« ... Aiguillonné avec rudesse par Le Forestier (« Est-ce que tu vas enfin te décider à chanter ? »), Favreau, qui a déjà publié ses propres chansons, ose enfin chanter Brassens. Et c’est superbe : la voix est chaude et bien timbrée, l’articulation exemplaire. La guitare alerte et l’accordéon qui lui répond, celui de Jean-Jacques Franchin, rendent ensemble justice à une musicalité que les po-pom po-pom de la version d’origine réduisaient au minimalisme : et c’est enthousiasmant ! » Anne-Marie Paquotte, Télérama

« Ses spectacles s’achèvent dans un enthousiasme ému car il invite les spectateurs à reprendre avec lui les morceaux. Personne ne s’en prive et, miracle, les paroles reviennent aux lèvres de tous. Quelle félicité de s’inviter à la fête de cette œuvre inouïe. » Marianne

« Jean-Jacques Franchin, accordéoniste à l’immense talent tout en nuances et en sobriété. » Le Parisien

« Celui qui a accompagné Brassens pendant douze ans a su s’entourer d’un accordéoniste sublime et subjuguant qui fait corps avec son instrument qu’il fait palpiter avec un talent fou et hypnotisant. (…) Joël Favreau a bien compris que le meilleur hommage que l’on pouvait rendre à un maître n’était pas de chercher à l’imiter mais d’interpréter son œuvre à sa manière. Moins distant que « le gros » qui se plaisait dans le rôle du pince sans rire, ce guitariste qui donne parfois l’impression de jouer des deux instruments à la fois, donne un ton pétillant, malicieux et complice aux textes qu’il interprète : avec Brassens on souriait au dedans, avec Joël Favreau, le rire passe la rampe ! » Le Progrès

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

Informations pratiques

Centre culturel Jean Vilar à Marly-le-Roi

44, allée des Epines 78160 Marly-le-Roi

  • Bus : Clos des Epines à 10 m, Bas des Ormes à 146 m, Jean Witold à 273 m, Marly Soleil à 282 m, Corbellerie à 296 m
  • Transilien : Marly-le-Roi à 425 m
  • En voiture  : Autoroute de Rouen (A13), sortie Marly-le-Roi

Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Centre culturel Jean Vilar à Marly-le-Roi
44, allée des Epines 78160 Marly-le-Roi
Spectacle terminé depuis le samedi 14 janvier 2006

Pourraient aussi vous intéresser

Spectacle terminé depuis le samedi 14 janvier 2006