Open Land Quartet

• Entre compositions personnelles et relectures poétiques

Bruno Angelini est un pianiste raffiné. Il va à la recherche de son inspiration comme « d’autres filtrent l’onde à la recherche de quelques milligrammes d’or pur ».

Avec son quartet Open Land, il délivrait dans un premier disque une musique paisible et sereine, d’une grande intensité, qui prenait le temps de s’épanouir et de monter en tension. Jeux d’archets pour la contrebasse de Claude Tchamitchian, les violons de Régis Huby et les architectures sonores du percussionniste Edward Perraud, participaient de cette quête de beauté infinitésimale qui, assemblée, fait une somme plébiscitée par le public et saluée par la presse.

Entre compositions personnelles et relectures poétiques, on peut compter sur lui pour inventer de nouvelles formes de conversation et donner une suite sensible à Instant Sharings, avec la sortie officielle d’un deuxième et très attendu album, qui pour l’heure tait son nom. À suivre…

• La presse

« Fruit d'un travail collectif, de moments intenses et partagés, ces sept plages (…) traduisent parfaitement l'univers poétique du pianiste, un créateur de climats oniriques, de pièces lentes et modales qui semblent ralentir l'inexorable marche du temps. » Blogdechoc.fr, 5/03/2018