Le bel indifférent

• Un voyage entre texte et musique

« J’ai voulu recréer une soirée comme elle avait été conçue à l’origine, une soirée qui débute par le concert que nous offre la femme publique en nous emportant imperceptiblement vers sa vie privée. Et c’est à cet instant du spectacle, dans la pièce de Cocteau, que cette femme va se dévoiler. C’est un voyage entre texte et musique de la femme publique à la femme privée.

Écrit pour Edith Piaf, Le Bel Indifférent décrit avec minutie et un sens dramatique riche en variété cette descente aux enfers de la chanteuse, au mieux dans sa vie publique, sur scène maîtrisant son art et la déliquescence qui s’ensuit lorsque le seul public dont elle désire l’écoute, l’Homme qu’elle aime, refuse de lui accorder un moment d’attention

La rencontre avec Lucy Harrison fut déterminante puisque voilà une artiste qui peut tout faire et le faire bien. Des chansons standard ou cultes des années 50 disposées tel en écrin autour d’un texte magnifique toujours à redécouvrir, voilà le programme ! »

Thierry Harcourt

• Le répertoire

At last
Les mots d'amour
Black coffee
Johnny
Où est-il donc
Besame mucho
Rhum & Coca-cola
Cry me a river
Parlez-moi d'amour
Escale - Mea culpa

• La presse

« Lucy Harrison interprète des airs français et américains d’avant et d’après guerre. Puis elle joue ce monologue de la solitude. L’actrice-chanteuse, avec sa sensualité rêveuse et sa voix de velours, est une grande interprète du rôle. » Les Echos

« Lucy Harisson est magnifique dans les deux rôles. L’interprétation de ses chansons est situé au plus haut niveau de qualité, de sensibilté et d’esthétisme. Quant au rôle tenu par la chanteuse en deuxième partie, il représente la quintessence de la douleur d’un amour non partagé. » La voix du 14ème