Le Bac 68

du 12 octobre au 19 novembre 2016
1h50 sans entracte

Le Bac 68

Retour événement réussi pour Philippe Caubère à l'Athénée. Énorme succès critique et public.

Il est seul en scène, avec, pour tout décor, une chaise et un banc. Mais ce n’est pas un one man show. Lui, il ne raconte pas sa vie, il la joue.

Molière 2017 : Meilleur Comédien dans un spectacle de Théâtre public : Philippe Caubère.

  • Digression dans le récit

Trente-quatre ans après avoir créé La Danse du diable, l’oeuvre matricielle qui déroule la jeunesse d’un enfant du Pays provençal dans les années 50 à 70, Philippe Caubère retrouve son alter ego, Ferdinand Faure, et sa mère Claudine.

Le Bac 68, « digression dans le récit », raconte aux jeunes gens d’aujourd’hui la vie de leurs parents et les événements qui, en cette année pivot, ont bouleversé la société occidentale. Cette année où Claudine accompagnait son « p’tit garçon » de 18 ans au centre d’examen et au centre dramatique, où le théâtre se devait d’être révolutionnaire, et les metteurs en scène à l’écoute de la classe ouvrière.

En 1h30 chrono, le fabuleux comédien – pilier du Théâtre du Soleil d’Ariane Mnouchkine – livre, sans temps mort, un spectacle unique.

  • La presse

« Bac 68  : mention très bien. Ferdinand double de théâtre de l'auteur va passer son bac dans une période troublée. II cherche sa voie, porté, envahi, secoué, martyrisé par la présence tutélaire et déjantée de sa mère. Le rire jaillit. Toutes les scènes sont des bijoux de comédie. » La Marseillaise

« Le triomphe de l'esprit de la jeunesse. Prouvant une nouvelle fois sa puissance scénique et son génie interprétatif, Philippe Caubère [...] joue Le Bac 68, parenthèse enchantée dans l'histoire. » La Terrasse

« Sur les planches, c'est le patron. Philippe Caubère le prouve cet été encore au Festival d'Avignon. » Le Havre dimanche

« Avec Le Bac 68, le comédien endosse à nouveau les habits de son double, Ferdinand, continuant d'explorer son passé dans une veine poétique et drolatique. [...] Le public rit toujours plus, toujours mieux. » Philippe Lançon, Libération

« Philippe Caubère est prodigieux. Il est resté l'Arlequin bondissant de ses débuts. Il fait des cabrioles mentales. Il jongle. Il saute, il court. Il s'émerveille. Il nous fait rire. Il nous fait tellement rire ! » Armelle Héliot, Le Figaro

« C'est un acteur extraordinaire. Il joue sur tous les tableaux. Je suis totalement admirative. Et puis qu'est-ce qu'on rit ! Très très belle réussite. » Marie-José Sirach / « C'est irrésistible. On ne peut pas s'empêcher de rire. » Joëlle Gayot / « Je suis très admiratif, Philippe Caubère est une bête de scène. » Arnaud Laporte, France Culture - émission La Dispute

« Il y a l'état civil qui donne froidement 66 ans à Philippe Caubère. Et puis il y a ce que l'on voit sur scène, ces petits sauts de cabris, ces galipettes, ces imitations hilarantes, cette gestuelle et surtout ce plaisir de jouer qui saute aux yeux et frappe au plexus comme une évidence : cet homme a beau être né en septembre 1950 à Marseille, c’est toujours un enfant. Un enfant qui, dans Le Bac 68 — sa nouvelle création à l'affiche de l'Athénée, adaptée de séquences de spectacles précédents — replonge dans ses années lycées avec une jubilation contagieuse. » Le Parisien

« Au Japon, Caubère serait classé trésor national. » Eric Naulleau / « Il est formidable, c'est la perfection. Ça rend heureux et intelligent. » Alexandra Alévêque / « Spectacle génial. » Thierry Chèze / « C'est beau, c'est drôle, c'est une performance rare. » Arnaud Viviant, Paris Première - émission Ça balance à Paris

  • Note d'intention

Le Bac 68 est l’adaptation d’un épisode de L’homme qui danse, version complète et originale de La Danse du Diable : Le Théâtre selon Ferdinand. Ce spectacle aura pour première ambition, comme son titre l’indique, de raconter aux jeunes gens d’aujourd’hui comment leurs parents (ou grands-parents…) ont passé le bac en cette année emblématique. Péripétie qui, comme on le sait, ne fut pas piquée des vers…

Il aura comme intérêt ensuite de faire revivre en direct par les personnages clefs de La Danse du Diable, Claudine, la mère, et Ferdinand, le fils, la montée et l’arrivée au sein d’une banale famille française de ces évènements historiques qui ont bouleversé la société occidentale. Les choses n’ont plus jamais été après ce qu’elles étaient avant, n’en déplaise aux méchantes langues et mauvais esprits qui ne sont pas les derniers pourtant à profiter encore des progrès, de société en particulier, qui en sont issus. En ces temps de révisionnisme général, il me semble que rappeler ceci, sous une forme comique et populaire qui plus est, tient presque du devoir civique et républicain… !

Le but restant, bien sûr, d’abord et malgré tout, de faire rire petits et grands. Histoire dans l’histoire, digression dans le récit ou parenthèse enchantée, Le Bac 68 pourra être aussi bien apprécié par ceux qui en auront suivi le récit principal tel qu’il est développé dans La Danse du Diable et qui seront curieux d’en découvrir un ressort caché, que par ceux qui n’auraient rien vu encore et que la perspective d’un spectacle plus court (1 heure 30 au lieu de trois) rassurerait pour une première prise de contact avec mon travail, mon œuvre, ou comme on dit : « mon univers » !

Philippe Caubère

Sélection d’avis du public

Lamentable Par Cecile P. - 26 juillet 2018 à 00h48

Grossier. Pas drôle. Soporifique.

Le 20 novembre 2016 à 17h12

plutot insipide sauf la 3ème partie! Dommage!

Par Olivier L. - 5 novembre 2016 à 18h52

moins agile qu'il y a 35 ans mais toujours autant de talent

Bac 68 Par NicoleP - 27 octobre 2016 à 09h40

50 ans d'histoire et toujours d'actualité !

Synthèse des avis du public

3,0 / 5

Pour 6 Notes

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3 6 5
Lamentable Par Cecile P. (2 avis) - 26 juillet 2018 à 00h48

Grossier. Pas drôle. Soporifique.

Le 20 novembre 2016 à 17h12

plutot insipide sauf la 3ème partie! Dommage!

Par Olivier L. (5 avis) - 5 novembre 2016 à 18h52

moins agile qu'il y a 35 ans mais toujours autant de talent

Bac 68 Par NicoleP (5 avis) - 27 octobre 2016 à 09h40

50 ans d'histoire et toujours d'actualité !

Par François C. (1 avis) - 23 octobre 2016 à 10h30

très lourd et trop long

le bac 68 Par Mariane M. (1 avis) - 21 octobre 2016 à 14h55

talent+ intelligence = larmes de rire garanties.

Informations pratiques

Athénée Théâtre Louis-Jouvet

Square de l'Opéra-Louis Jouvet, 7 rue Boudreau 75009 Paris

À l'italienne Accès handicapé (sous conditions) Bar Madeleine Opéra Vestiaire
  • Métro : Opéra à 162 m, Havre-Caumartin à 189 m, Madeleine à 298 m, Saint-Lazare à 398 m
  • RER : Auber à 40 m, Haussmann Saint-Lazare à 314 m
  • Bus : Auber à 24 m, Opéra à 105 m, Havre - Haussmann à 167 m, Capucines - Caumartin à 217 m, Gare Saint-Lazare - Havre à 301 m, Pasquier - Anjou à 360 m, Madeleine à 394 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Athénée Théâtre Louis-Jouvet
Square de l'Opéra-Louis Jouvet, 7 rue Boudreau 75009 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 19 novembre 2016

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