De la vie dans les bourgs, les maisons, les faux bourgs, de la vie dans les villes, les villages, la campagne, de la vie des p’tits hommes, de la vie des p’tites flammes qui brûlent dans nos cœurs, quand nos cœurs s’enflamment, àla vue d’une rivière, d’un pays, d’une montagne, d’un ventre plat ou rond, d’un vallon en champagne, d’une côte d’ivoire sur le flan d’une femme, des rondeurs océanes, de nos vie, de nos drames.
De belles femmes, de belles âmes, de beaux pieds, de beaux nez.
Du vide si bien rempli des douleurs du passé, des souffrances de l’enfance, des poisons du pêché, des passions déchirées, de tout ces souvenirs qui s’enfoncent dans nos flancs comme un fil dans du beurre, comme un couteau dans l’eau, comme l’épée dans un cœur, quand le cœur se rappelle son amour pour elle.
Des odeurs de poubelles, des sentiments qui mentent, qui s’inventent, qui s’lamentent et qui reviennent sans cesse harceler nos pensées, attiser le bûcher, assombrir nos idées, falsifier le réel, crucifier nos journées sur le calendrier des jours nés du passé.
Il chante, et les mots résonnent dans les voix de Colline et Maxime.
Les arrangements et lʼharmonie cherchent à approcher la précision de la pendule franc-comptoise ! Les influences anglo-saxonnes, cubaines, brésiliennes et... alpines promènent le spectateur dans un monde qui ne ressemble à rien dʼautre.
55, rue de la Procession (Place Falguière) 75015 Paris