« 11 mars 2011 : Fukushima est dans le noir. « Plus aucune source d’électricité pour refroidir les réacteurs nucléaires ? Ah si... Une clim. » La représentante de Tepco (Audrey Vernon) relate heure par heure l’accident : les nouvelles sont bonnes ! Un paysan (Xavier Mathieu) refuse d’accepter sa fatalité. Fera-t-il basculer l’arrogante icône du capitalisme dans le remords ? Suspens ! »
Cinq ans après, Audrey Vernon revient sur Fukushima en choisissant l’arme dans laquelle elle excelle : l’humour. En lisant les documents officiels – rapport d’enquête, analyse des instances internationales – et des articles de presse, elle s’aperçoit que les décideurs de ce monde gère la catastrophe avec un amateurisme étonnant. Aucun moyen de combattre une énergie aussi immaitrisable que le soleil, face à laquelle on est aussi impuissant que des enfants...
C’est donc au moyen du théâtre d’objets qu’elle décide de traiter l’affaire : camion de pompier, pâte à modeler, un peu d’eau, deux, trois bricoles… La représentante de TEPCO s’occupe de tout !
A l’écart un paysan, joué par Xavier Mathieu, regarde… Médusé ? Désespéré ? Evidemment en colère aussi.
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