Le Pari(s) de la multiplicité des cultures et des appartenances réunies dans une seule République : partage, réflexion et ouverture aux autres. C’est sous ce signe que nous avons placé l’édition 2017 du festival.
Aida Nosrat (Iran)
Le chant de l’interdit et de l’exil Trentenaire déterminée, née à Téhéran, la violoniste et chanteuse Aïda Nosrat vit en France depuis deux ans avec son compagnon guitariste Babak Amir Mobasher. Sa musique est le point de rencontre du flamenco, du jazz manouche, de la musique et de la poésie traditionnelles persanes, avec un zeste de musique azérie (Turquie, Iran, Azerbaïdjan). À travers des poésies mystiques, elle évoque des thèmes universels comme l’amour.
Miléna Kartowski Aïach (France)
Chants hassidiques féminins : Un répertoire mystique et cachés. Musicienne et anthropologue, Miléna Kartowski-Aïach est née en 1988 à Paris d’une mère ashkénaze d’origine polonaise et d’un père séfarade et judéo-berbère, né en Algérie. Depuis son plus jeune âge elle se destine et s’adonne à la création artistique. Elle tente aujourd’hui d’interpréter ces chants hassidiques féminins, sacrés, cachés et poétiques, accompagnée par le musicien Qaïs Saadi, talentueux joueur de oud franco-algérien.
Stingo Music Club (France)
Musique baroque. Explorateur d’un genre nouveau, le Stingo Music Club interprète des mélodies cosmopolites ayant traversé toute l’Europe, depuis le 17ème siècle. L’ensemble revisite les répertoires populaires et savants dont ceux publiés par John Playford à Londres, les compositions de Henry Purcell ou encore les œuvres de musiciens français et italiens ayant effectué une partie de leur carrière en Angleterre, à l’instar de Francesco Gemiani et Nicolas Matteis.
18, rue du Faubourg du Temple 75011 Paris