Dairakudakan - La planète des insectes

Fabuleux ballet, envoûtant et onirique. Des danseurs fantastiques, des silences somptueux.

Superbe ballet ! A certains moments, le public est pris dans un onirisme étrange et envoutant. Certaines scènes sont dignes de Lautréamont.... A voir et revoir !!!!

ballet magnifique de Bûto ; envoutant et émotionnant, même si par moments, on sentait quelques longueurs.

Idée originale et bien exploitée. La musique n'était pas égale. Il manquait un univers musical dédié.

Très bon spectacle.

Tout est bon , mise en scène, musique (oui à l'alternance des deux compositeurs), danseurs... Un grand et beau moment de Japon.

J'ai oublié les étoiles je note sans limite ***********************

C'est le 3è spectacle de Butô que je vois à la McJp : après l'ode à la chair et Uut en hommage à Carlota Ikeda. Je dois dire que je n'ai pas été déçu avec ce monde des insectes très impressionnant : quelque part on n'en sort pas intact...Quel spectacle ! Mais quel spectacle !!! il faut avoir vu çà un jour dans sa vie ! C'est somptueux d'esthétisme : la grâce des danseurs, l'expression des visages, la mise en scène, la lumière, la musique et Akaji Maro la grande figure de ce spectacle. Ce résumé est très réduit car pour raconter ce genre de spectacle les mots manquent...il faut aller le voir ! Et merci encore théâtre online pour l'excellent choix des places ! Allez y non ! Courrez y !!!! la dernière est ce soir...

Un spectacle superbe, esthétique et profond, merci

une splendeur un étonnement une densité beauté originalité émotions un incroyable ailleurs

Je vois que des gens s'enflamment avec Jeff Mills et ils ont raison. Le problème c'est que sur 9 tableaux (et 10 séquences), il n'y en a que 3 avec la musique de Jeff Mills ; le spectacle aurait beaucoup à gagner d'être totalement mis en musique par lui. Au niveau chorégraphique et le reste, c'est toujours la même chose avec ce genre de spectacle japonais, beaucoup d'excellentes idées, un savoir faire indéniable, mais on s'emmerde la moitié du temps et c'est souvent vide de sens, ou disons très inaccessible du fait d'une vision excessivement personnelle, et morbide.

Rigueur, singularité, expressivité, côté déjanté aussi, un travail incroyable sur les corps et les visages, une mise en scène vive, rythmée par le soutien de la musique de Jeff Mills. Un décor minimaliste mais qui occupe une place centrale dans la mise en scène. Akaji Maro se meut longuement sur scène dans une sorte de désarticulation corporelle fascinante. A voir absolument par ceux que le Japon intéresse ou pour en découvrir une facette hyper créative car c'est réellement un moment étonnant qui mêle modernité et tradition, extrême précision et totale fantaisie, le tout dans une rigueur exceptionnelle.

beau couple avec jeff mills