Souviens-toi Vernon, on entrait dans le rock comme on entre dans une cathédrale, et c'était un vaisseau spatial cette histoire.

Rien ne me sépare de la merde qui m’entoure, un spectacle adapté du texte inédit de Virginie Despentes lu le 16 octobre 2020 à la veille du couvre-feu en France. A partir de 15 ans.

En abordant l’écriture de Virginie Despentes, Thomas Ostermeier revient à la prose française contemporaine pour dresser une nouvelle fois l’état des lieux d’une société de plus en plus brutale. En allemand surtitré en français.

La rappeuse Casey, La comédienne Béatrice Dalle et l’auteure Virginie Despentes, réunies par David Bobée, pour parler des nouveaux féminismes.

À mi-chemin entre le road movie et le polar, cette épopée improbable à l’humour dévastateur adaptée de Virginie Despentes nous entraîne de Paris à Barcelone, à la recherche des traces de vie de Valentine. Un voyage initiatique et coup de poing !

A travers son témoignage musclé, Virginie Despentes repose la question de la condition de la femme (et des hommes) dans notre société. Incarnée par trois comédiennes lumineuses (Anne Azoulay, Marie Denarnaud et Valérie de Dietrich), une pensée percutante qui agit comme un coup de fouet vivifiant ! Déconseillé aux moins de 16 ans.

A travers son témoignage musclé, Virginie Despentes repose la question de la condition de la femme (et des hommes) dans notre société. Incarnée par trois comédiennes lumineuses (Anne Azoulay, Marie Denarnaud et Valérie de Dietrich), une pensée percutante qui agit comme un coup de fouet vivifiant ! Déconseillé aux moins de 16 ans.

Premier livre de Louis Calaferte, paru en 1952, Requiem des innocents est un récit d’apprentissage à la dure, porté par une langue particulièrement puissante. Marquée à vie par ce livre viscéral, Virginie Despentes en propose une vibrante adaptation scénique, en étroite collaboration avec Zëro, groupe de rock prospectif et abrasif. Non pas une lecture musicale mais une mise en voix, en corps et en musique, grâce à laquelle Requiem des innocents (re)jaillit sur scène avec toute sa fulgurance originelle.

Cuisinières, femmes en robe ou en tablier, tête nue ou portant chapeau, elles sont libres et prennent la parole. C’est avec beaucoup de détermination et de force que ces femmes sortent de leur marmite des incantations, des paroles oubliées.

A travers son témoignage musclé, Virginie Despentes repose la question de la condition de la femme (et des hommes) dans notre société. Incarnée par trois comédiennes lumineuses (Anne Azoulay, Marie Denarnaud et Valérie de Dietrich), une pensée percutante qui agit comme un coup de fouet vivifiant ! Déconseillé aux moins de 16 ans.