Vincent Planès

Vincent Planès

Chambriste de prédilection, Vincent Planès a joué dans quelques­‐unes des plus grandes salles d’Europe et d’Amérique : Carnegie Hall de New York, Jordan Hall de Boston, Wigmore Hall de Londres, Kumho Art Hall de Séoul, Auditorium du Louvre, Kennedy Center de Washington D.C… D’origine annécienne, il est parti se perfectionner aux Etats-­Unis à l’issue de ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon. A l’Université d’Indiana, il a eu le privilège d’être l’élève de Menahem Pressler et d’accompagner la classe du violoncelliste János Starker. Il a ensuite consacré cinq années à la préparation d’un doctorat d’accompagnement au New England Conservatory auprès de la pianiste Irma Vallecillo. Parmi les autres figures déterminantes dans son parcours musical : l’altiste Kim Kashkashian et le violoniste Itzhak Perlman. Depuis 2007, il est professeur au Conservatoire Maurice Ravel de Bayonne.

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De 1999 à hier - Vincent Planès

Sacré Printemps !

Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes

le 29 nov. 2016
1 heure
MUSIQUE & DANSE Musique classique Concert Théâtre musical Terminé
  • De : Igor Stravinsky, Nathalie Fillion
  • Mise en scène : Nathalie Fillion
  • Avec : Jean-Sébastien Dureau, Vincent Planès, Estelle Meyer
Jouer Le Sacre du Printemps au piano à quatre mains est en soi un sacré défi : celui de réduire à un seul instrument une oeuvre superlative qui cristallise la toute-puissance de l’orchestre. Les deux pianistes nous livrent ainsi une véritable performance, enchevêtrant leur bras sur le clavier pour en tirer des sons inédits : frottement des cordes, percussions, vibrations, résonnances...
Sacré Printemps !

L'Orangerie, Cachan

le 31 janv. 2016
1 heure
MUSIQUE & DANSE Musique classique Concert Théâtre musical Terminé
  • De : Igor Stravinsky, Nathalie Fillion
  • Mise en scène : Nathalie Fillion
  • Avec : Jean-Sébastien Dureau, Vincent Planès, Estelle Meyer
Jouer Le Sacre du Printemps au piano à quatre mains est en soi un sacré défi : celui de réduire à un seul instrument une oeuvre superlative qui cristallise la toute-puissance de l’orchestre. Les deux pianistes nous livrent ainsi une véritable performance, enchevêtrant leur bras sur le clavier pour en tirer des sons inédits : frottement des cordes, percussions, vibrations, résonnances...