Valérie Rivière

Valérie Rivière

Elève au Conservatoire de Bordeaux, Valérie Rivière suit également des cours à l’Académie de Danse Classique avec Claude Paoli, étudie à l’école de la Princesse Grâce sous la direction de Marika Besobrasava puis entre à Mudra Bruxelles, l’école de Maurice Béjart, où elle tra-vaille les disciplines classiques, modernes, rythme, chant, solfège, théâtre, improvisation musicale, commedia dell’arte, flamenco, danse hindoue et zen.
Après un passage à la Ménagerie de Verre, elle crée en 1983 la Compagnie Paul les Oiseaux et monte ses premières chorégraphies : Les stratégies obliques de Paul les Oiseaux en 1991, Ainsi soit-il en 1993 à l’Espace des Arts de Chalon-sur-Saône, Un carré d’immortelles en 1994, Un rond de fumée et Evénement en 1995, Inuktitut en 1996, 40 paysages fixes mis en mouvement en 1998 pour la dixième Biennale de danse du Val-de-Marne, puis No man’s land en 2000.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Valérie Rivière

Minute papillon

Théâtre Dunois, Paris

du 22 févr. au 5 mars 2017
45 minutes
MUSIQUE & DANSE JEUNE PUBLIC Avec les ados Danse contemporaine Ballet Terminé
  • De : Timothée de Fombelle, Anna P, Valérie Rivière, Mélissa Blanc
  • Chorégraphie : Valérie Rivière
  • Avec : Mélissa Blanc, Stéphanie Pignon
Trois contes explorent toute une palette de sentiments dans un ballet philosophique pour voix et deux danseuses. Trois tableaux, trois atmosphères s'esquissent sur une partition electro-pop, où l’oscillation du geste se joint au souffle de la parole. Le conte et la danse sont des chemins de traverse vers les grandes questions existentielles qui éclairent l’esprit. Dès 8 ans.
Valérie Rivière - No man’s land

Lierre, Paris

du 18 au 19 janv. 2002
40 minutes
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Valérie Rivière
  • Avec : Katia Noir, Julien Fouché
Article premier : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droit. « ... Telle est ma seule consolation. Je sais que les rechutes dans le désespoir seront nom-breuses et profondes, mais le souvenir du miracle me porte comme une aile vers un but qui me donne le vertige : une consolation et plus grande qu’une philosophie, c’est-à-dire une rai-son de vivre. »