Le chorégraphe Abou Lagraa met magnifiquement en mouvement Le Cantique des cantiques, suite de poèmes et de chants d’amour. Ode à la chair délicieusement scandaleuse, où l’amour charnel et la violence des passions se côtoient. Percutant, énigmatique et puissant ! Déconseillé aux moins de 13 ans.

Le chorégraphe Abou Lagraa met magnifiquement en mouvement Le Cantique des cantiques, suite de poèmes et de chants d’amour. Ode à la chair délicieusement scandaleuse, où l’amour charnel et la violence des passions se côtoient. Percutant, énigmatique et puissant ! Déconseillé aux moins de 13 ans.

Le chorégraphe Abou Lagraa met magnifiquement en mouvement Le Cantique des cantiques, suite de poèmes et de chants d’amour. Ode à la chair délicieusement scandaleuse, où l’amour charnel et la violence des passions se côtoient. Percutant, énigmatique et puissant ! Déconseillé aux moins de 13 ans.

Spectacle contemporain hiphop de La XXe Tribu. L’homme en harmonie avec lui-même devient identique aux éléments qu’il rencontre, de telle sorte que rien ne peut le blesser... Traverser les métaux et les rochers, fouler l’eau et le feu, tout lui est possible !

Jeune danseur au parcours éclectique, David Drouard a fait en 2004 une entrée remarquée grâce Gravity, quatuor à la fois très écrit et sensuel. Créée pour le Nederlands Dans Theater II, Volubilis est un ballet subtil et ludique qui confronte “musique baroque et danse articulée”.

Pour Frédéric Cellé, la danse est une invention où la souplesse n’est pas que physique : l’appel de l’espace et la liberté pleine d’un mouvement affranchi de pensée ou de thèses guident les cinq danseurs dans une gestuelle commune ample, ouverte, presque souriante. Parloir de Denis Plassard met face à face un homme et une femme dans un échange soutenu, volubile, envôutant.

Sensualité à fleur de peau et énergie fiévreuse: la nouvelle création d’un jeune chorégraphe au vocabulaire singulier se joue en noir et blanc, du crépuscule à l’aube. Un travail sur l’intimité en trois tableaux.

Folle d’un amour impossible, d’un chagrin qui la déborde, une jeune femme est internée. Après que Louise D. ait passé plusieurs années à l’asile, sa famille l’estime guérie et la réclame. La direction de l’asile refuse sa libération.