Comme son nom l’indique, Salad aime les mélanges. Composé d’un quatuor à cordes issu de l’orchestre, augmenté d’une guitare et d’une basse électrique, l'Orchestre de Chambre de Paris aime marier les saveurs du tango et du blues, associer romantiques et manouches, ou épicer les cordes classiques d’arrangements inédits…

Comme son nom l’indique, Salad aime les mélanges. Composé d’un quatuor à cordes issu de l’orchestre, augmenté d’une guitare et d’une basse électrique, le groupe aime marier les saveurs du tango et du blues, associer romantiques et manouches, ou épicer les cordes classiques d’arrangements inédits…

Comme son nom l’indique, Salad aime les mélanges. Composé d’un quatuor à cordes issu de l’orchestre, augmenté d’une guitare et d’une basse électrique, le groupe aime marier les saveurs du tango et du blues, associer romantiques et manouches, ou épicer les cordes classiques d’arrangements inédits…

Il est difficile d’imaginer que les musiciens classiques aient composé des œuvres fonctionnelles. Pourtant, bien des commandes de musiques dites « de plein air », comme les sérénades et divertimenti, accompagnaient les événements qui rythmaient la vie quotidienne. En revanche, ce type de partition représentait une belle opportunité pour mêler instruments à cordes et vent, et recréer un petit orchestre champêtre. La virtuosité des interprètes était mise alors à rude épreuve.

Si le titre de ce film japonais ne vous est pas familier, son histoire n’en est pas moins étonnante. Réalisé par Teinosuke Kinugasa dans les années 20, Kurutta Ippeji disparaît soudainement. Cinquante ans plus tard, le film est retrouvé par le réalisateur lui-même, dans sa cabane de jardin où il l’avait soigneusement caché pendant la guerre… puis oublié.