Nathalie Pivain
Nathalie Pivain
Après une licence d’études théâtrales à Censier Paris III, un atelier avec Laurent Rey au Théâtre école de Montreuil, et une formation à l’école du Théâtre national de Bretagne sous la direction de Christian Colin, Nathalie Pivain joue entre autres avec Didier-Georges Gabily dans Les Juifves de Garnier, avec Thierry Bédard dans L’éloge de l’analphabétisme d’Hans Magnus Enzensberger, avec Dominique Dolmieu dans Quel est l’enfoiré qui a commencé le premier ? et Balkans’ not dead de Dejan Dukovski.
Elle est metteur en scène de La Supplication et autres fragments de Svetlana Alexievitch, Les Contes des couleurs d’Imant Ziedonis. Avec le Théâtre des Lucioles, collectif d’acteurs de la promotion du TNB, elle crée Nunzio de Spiro Scimone et le Manuscrit des chiens III de Jon Fosse.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Nathalie Pivain
Echangeur, Bagnolet
du 12 au 20 févr. 2019
1h15
- De : Nicolas Doutey
- Mise en scène : Sébastien Derrey
- Avec : Rodolphe Congé, Catherine Jabot, Nathalie Pivain
Quelque chose a changé dans la situation remarquent Paul et Pauline. Mais quoi, on ne sait pas. C’est peut-être le chien, l’ami qu’ils partent chercher, le bateau qu’il faut prendre, un son ou une séparation. Il faudrait en tout cas réagir dans un endroit précis pour que ce soit bien clair. Ils flottent là en plein courant d’air, fragiles et furieusement vivants.
Théâtre de la Commune, Aubervilliers
du 30 sept. au 13 oct. 2016
3 heures environ
- De : Heinrich von Kleist
- Mise en scène : Sébastien Derrey
- Avec : Frédéric Gustaedt, Olivier Horeau, Catherine Jabot, Fabien Orcier, Nathalie Pivain, Charles Zevaco
Profitant de l’absence du général thébain Amphitryon, le dieu Jupiter usurpe son apparence pour séduire son épouse, la belle et vertueuse Alcmène. À rebours des interprétations nihilistes de ce mythe littéraire, la mise en scène de Sébastien Derrey éclaire la lutte que mènent les hommes pour sortir de l’isolement et de l’amertume. L’un des mythes littéraires les plus troublants.
Atelier du Plateau, Paris
du 11 au 13 févr. 2016
- De : Nelly Arcan
- Adaptation : Valérie Schwarcz, Nathalie Pivain
- Mise en scène : Valérie Schwarcz, Nathalie Pivain
- Avec : Valérie Schwarcz, Nathalie Pivain
En 2001, le monde littéraire francophone s’enflamme pour Putain un livre choc de Nelly Arcan écrit à la première personne, racontant la vie d’une prostituée montréalaise. Valérie Schwarcz et Nathalie Pivain, comédiennes, adeptes d’un théâtre d’auteurs contemporains où la langue frappe, adaptent pour la scène cet univers cru, singulier et décapant.
Echangeur, Bagnolet
du 9 au 21 déc. 2013
- De : Frédéric Vossier
- Mise en scène : Sébastien Derrey
- Avec : Nathalie Pivain, Catherine Jabot, Frédéric Gustaedt
L’auteur s’est librement inspiré des derniers jours de la vie d’Elvis Presley à Graceland, le manoir-mausolée où vivait « le King » entouré de sa cour.Tahoe porte d’abord, en son coeur, cette question dérangeante de l’émotion de sa manipulation. Entre émotion transmise, spectacle de l’émotion et voyeurisme. Frédéric Vossier parle pour Tahoe d’une sorte de « pourrissement du mélodrame ». Comme un coeur qui s’use. »
Echangeur, Bagnolet
du 25 au 29 oct. 2012
1h30
- De : Frédéric Vossier
- Mise en scène : Sébastien Derrey
- Avec : Frédéric Gustaedt, Catherine Jabot, Nathalie Pivain
Mannekjin, sa pièce la plus à l’eau de rose selon Frédéric Vossier, est un théâtre de marionnettes vivant. Les clichés encombrent les têtes et collent les corps. S’y joue une description implacable de la violence de la domination, de son mécanisme. Au niveau moléculaire des mots on voit comment le langage devient instrument de la violence.
Théâtre de l'Opprimé, Paris
du 7 au 25 mars 2012
- De : Goran Stefanovski
- Mise en scène : Dominique Dolmieu
- Avec : Fabrice Clément, Michel Fouquet, Laurent Grappe, Nouche Jouglet-Marcus, Franck Lacroix, Aurélie Morel, Barnabé Perrotey, Nathalie Pivain, Christophe Sigognault, Tristan Soler, Frederico Uguccioni
Le Démon de Debarmaalo est l’écho d’un authentique fait divers qui s’est déroulé à Paris en 1387 et qui a fait depuis le tour du monde : celle du barbier égorgeant ses victimes avant de les confier à un complice, chargé de transformer les cadavres en délicats pâtés à la viande. On en connaît notamment la version cinématographique de Tim Burton Sweeney Todd.
Echangeur, Bagnolet
du 5 au 15 janv. 2012
1h30
- De : Frédéric Vossier
- Mise en scène : Sébastien Derrey
- Avec : Frédéric Gustaedt, Catherine Jabot, Nathalie Pivain
Mannekjin, sa pièce la plus à l’eau de rose selon Frédéric Vossier, est un théâtre de marionnettes vivant. Les clichés encombrent les têtes et collent les corps. S’y joue une description implacable de la violence de la domination, de son mécanisme. Au niveau moléculaire des mots on voit comment le langage devient instrument de la violence.
Théâtre de l'Opprimé, Paris
du 18 au 29 mars 2009
2 h 10
- De : Dejan Dukovski
- Mise en scène : Dominique Dolmieu
- Avec : Patrick Alaguératéguy, Céline Barcq, Laurence Brandi, Young-Soo Cho, Laurent Grappe, Morgane Hainaux, Nouche Jouglet-Marcus, Franck Laisné, William Le Hen, Cyril Lévi-Provençal, Natacha Mendès, Barnabé Perrotey, Nathalie Pivain, Marc Ségala, Christophe Sigognault, Tristan Soler
Balkans’ not dead est une reprise, façon pastiche trash, d’une autre oeuvre, Les
Noces de sang macédoniennes de Vojdan Cernodrinski, l’une des principales œuvres
classiques du théâtre macédonien. Dejan Dukovski reprend l’histoire
du meurtre sanglant de la jeune Cveta, symbole de la Macédoine, et pose ici la
question de la possible renaissance des Balkans.
Atelier du Plateau, Paris
du 28 au 29 nov. 2008
- De : Imants Ziedonis
- Mise en scène : Nathalie Pivain
- Avec : Frédéric Gustaedt, Nathalie Pivain
Sept couleurs envahissent successivement l’espace, comme les sept doigts de la main, comme
le nez s’envole du visage, comme le cheval bleu tient la création… Sept couleurs comme sept destinées contées par deux comédiens, un musicien et un vidéaste.
Nouveau Gare au théâtre, Vitry-sur-Seine
du 8 au 15 juil. 2000
- De : Christian Rullier
- Mise en scène : Pascal Kirsch
- Avec : Nathalie Pivain, Frédéric Gustaedt
Donner vie à une parole qui n’a pas encore eu de son ; car une parole sans
son est une parole morte. Une bouche bien vivante qui n’est pas entendue des vivants
est un paradoxe violent et douloureux ressenti par le poète et par ceux qui aiment le
poète.
