Le corps harangue-t-il ? Sur la symphonie techno jouée en live par Arnaud Rebotini, Alban Richard conçoit une chorégraphie qui puise sa puissance dans la ferveur. Corps éloquents, sermons et slogans, ce montage chorégraphique, musical et plastique, est exaltant.

Le corps harangue-t-il ? Sur la symphonie techno jouée en live par Arnaud Rebotini, Alban Richard conçoit une chorégraphie qui puise sa puissance dans la ferveur. Corps éloquents, sermons et slogans, ce montage chorégraphique, musical et plastique, est exaltant.

Coax, le collectif de musiciens de musique actuelle expérimentale s’aventure du côté du « spectacle sonore et chorégraphique ».

Alban Richard s’inspire pour sa nouvelle création du Moyen Âge et notamment des ballades, un genre littéraire et musical d’une grande sensibilité, au lyrisme intense. Nombrer les étoiles est une traversée de la Nuit.

En complicité partagée avec les musiciennes de l’ensemble Alla francesca, Alban Richard reprend les données graphiques des partitions et scelle une réjouissante alliance entre la lyrique courtoise médiévale et la danse contemporaine.

L’un est violoniste compositeur, l’autre interprète chorégraphe. Régis Huby et Alban Richard, artistes sans frontières stylistiques et friands de rencontres inédites, entrent avec leurs « guests » sur le plateau tels des golfeurs sur le practice. La règle du jeu : être à l’écoute de l’autre pour inventer un dialogue spontané entre la musique et la danse.

Alban Richard s’inspire pour sa nouvelle création du Moyen Âge et notamment des ballades, un genre littéraire et musical d’une grande sensibilité, au lyrisme intense. Nombrer les étoiles est une traversée de la Nuit.

Après avoir fait résonner Pléiades, Alban Richard vous présente sa prochaine création en résidence. La musique n’en sera pas absente, le théâtre non plus d’ailleurs, et c’est dans un corpus iconographique puissant – Fra Angelico, Bruegel, Dürer, Goya – que le chorégraphe a puisé ses modèles pour une danse des corps frénétique.

Le chorégraphe contemporain Lionel Hoche s’empare d’un monument de la musique romantique, La Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz. Mémoire et imaginaire, passé et futur sont convoqués, pour nous faire entendre les excès et les convulsions qui traversent les siècles. Une passionnante exploration des relations fécondes entre les écritures musicales et chorégraphiques.

Pléiades confronte, dans un même espace partagé, les forces telluriques des instruments de percussion avec la puissance intérieure, sereine et tranquille, des corps des danseurs. Rencontre d’une rare intensité dont Alban Richard nous invite à être les témoins.