Un texte inouï, féroce et drôle qui nous interroge sur notre courage idéologique face au gâchis écologique, à la consommation frénétique, à la colonisation culturelle... Une fantaisie mordante, antidote au cynisme et à la bêtise.

Absurde, la version de Dea Loher tord le cou au romantisme. Le prince charmant, la virginité, l’amour pour l’éternité, la fidélité, le mariage, le sacrifice, l’héroïsme, rien ne marche et tout s’embrouille dans une sorte de course-poursuite dont le but serait l’amour et l’identité. À la fois drôle et profonde, cette version contemporaine de l’homme qui assassina sept femmes nous confronte à une seule énigme : qui est-on face à l’autre ?

Absurde, la version de Dea Loher tord le cou au romantisme. Le prince charmant, la virginité, l’amour pour l’éternité, la fidélité, le mariage, le sacrifice, l’héroïsme, rien ne marche et tout s’embrouille dans une sorte de course-poursuite dont le but serait l’amour et l’identité. À la fois drôle et profonde, cette version contemporaine de l’homme qui assassina sept femmes nous confronte à une seule énigme : qui est-on face à l’autre ?

Un musicien et une comédienne, pour raconter en voix et en musique un univers où se mêlent les désirs, les obsessions, les rêves et la passion d’un musicien à « contretemps ». Gogol, Sarrazin : deux solos, deux histoires, celle d’un homme et celle d’une femme.

Deux solos, deux histoires, celle d’un homme et celle d’une femme. Deux portraits, deux trajectoires de vie, d'êtres passionnés, en quête de liberté absolue.

Un peu de l’histoire de chacun compose le portrait de cet immeuble où l’on se côtoie sans réellement se connaître. Avec beaucoup de joie de vivre et d’engagement, ces locataires organisent la vie de ce surprenant immeuble de banlieue.