À coups de timbres raffinés, d’improvisations électriques, le Velvet Revolution a la puissance des paysages qui, sans crier gare, nous imposent leur délicatesse, leur mélodie de velours.

Raffinement des timbres, velouté chambriste, improvisations électriques, le nouvel opus Won’t put no flag out du Velvet Revolution du saxophoniste Daniel Erdmann a la puissance des paysages qui, sans crier gare, nous imposent leur délicatesse. Accompagné au violon et au vibraphone des talentueux Théo Ceccaldi et Jim Hart, le trio germano-franco-britannique déborde, à discrétion, d’élégance sonore, de volutes virtuoses. Après plusieurs passages remarqués dans nos murs, ils reviennent enjôler nos oreilles de leur nouveau répertoire.

Le violoncelliste Vincent Courtois réunit deux saxophonistes, le souffle chaud de Daniel Erdmann et les élans brillants de Robin Fincker, pour former un trio à l’instrumentation inédite, oscillant entre musiques de chambre et improvisations. Comme pour une étape de parcours, une halte, un bivouac, ils posent leurs valises pour trois jours à l’Atelier du Plateau. Un musicien invité les rejoint chaque soir, pour dérouler la richesse des trois répertoires.

Raffinement des timbres, velouté chambriste, improvisations électriques, le nouvel opus Won’t put no flag out du Velvet Revolution du saxophoniste Daniel Erdmann a la puissance des paysages qui, sans crier gare, nous imposent leur délicatesse. Accompagné au violon et au vibraphone des talentueux Théo Ceccaldi et Jim Hart, le trio germano-franco-britannique déborde, à discrétion, d’élégance sonore, de volutes virtuoses. Après plusieurs passages remarqués dans nos murs, ils reviennent enjôler nos oreilles de leur nouveau répertoire.

Raffinement des timbres, velouté chambriste, improvisations électriques, le nouvel opus Won’t put no flag out du Velvet Revolution du saxophoniste Daniel Erdmann a la puissance des paysages qui, sans crier gare, nous imposent leur délicatesse. Accompagné au violon et au vibraphone des talentueux Théo Ceccaldi et Jim Hart, le trio germano-franco-britannique déborde, à discrétion, d’élégance sonore, de volutes virtuoses. Après plusieurs passages remarqués dans nos murs, ils reviennent enjôler nos oreilles de leur nouveau répertoire.

Depuis sa naissance, le trio a enregistré pas moins de six disques et écumé les scènes européennes. De là, une musique construite et vive, une matière sonore euphorisante enchâssée dans une rythmique des plus rigoureuses. Un assaut d’énergie dans la pure façon du rock, au service d’un répertoire qui s’attache à déjouer toutes les frontières des genres.

Pour son nouveau trio, Vincent Courtois réunit deux saxophonistes ténor, le souffle chaud du berlinois Daniel Erdmann et les élans brillants du londonien Robin Fincker, pour former un trio d’un genre inédit dans l’histoire du jazz.

Le Vincent Courtois trio et le quartette mené par Aldo Romano au programme de cette soirée partagée dans le cadre de Banlieues Bleues 2011. Deux concerts qui permettent à la fois de se projeter dans le futur et de rendre un hommage. Jazz entre avant-garde et tradition.