Inspiré par une fable de Carlo Gozzi, l’ultime opéra de Puccini renoue avec une atmosphère orientale, déjà présente dans Madame Butterfly. Les références à l’Asie ne pouvaient que séduire Robert Wilson dont l’esthétique emprunte au théâtre nô. Sa mise en scène épurée offre des images saisissantes et hypnotiques. Spectacle en italien surtitré en français et en anglais.

Grande fresque pleine de coups de théâtre, La Forza del destino de Verdi est aussi un ouvrage ancré dans son époque. L’opéra devient le lieu où les rêves se brisent sur le mur de la réalité, mais d’où s’élève un fragile chant d’espoir d’une beauté envoûtante. En langue italienne.

Inspiré par une fable de Carlo Gozzi, l’ultime opéra de Puccini renoue avec une atmosphère orientale, déjà présente dans Madame Butterfly. Les références à l’Asie ne pouvaient que séduire Robert Wilson dont l’esthétique emprunte au théâtre nô. Sa mise en scène épurée offre des images saisissantes et hypnotiques. Spectacle en italien surtitré en français et en anglais.

Grande fresque pleine de coups de théâtre, La Forza del destino de Verdi est aussi un ouvrage ancré dans son époque. L’opéra devient le lieu où les rêves se brisent sur le mur de la réalité, mais d’où s’élève un fragile chant d’espoir d’une beauté envoûtante. En langue italienne.

Remarquable homme de théâtre, Pierre Audi offre à l’opéra de Puccini une mise en scène aux dimensions de sa partition : un paysage pasolinien sur lequel plane l’ombre d’une croix gigantesque, pour signifier la collusion entre les oppressions politique et religieuse. L’œuvre est servie par un impressionnant plateau vocal réunissant Anja Harteros (en alternance), Marcelo Álvarez et Bryn Terfel.

Sur fond de réalité fantasmée, moins vériste en somme qu'impressionniste, se détache la figure délicate de l'héroïne abandonnée, la plus émouvante que Puccini ait jamais créée. Pilier du répertoire de l'Opéra de Paris, la production épurée de Robert Wilson revient tel un rêve bleuté. Avec Oksana Dyka et Ermonela Jaho en alternance.

Conjuguant vérité historique et réalisme tragique, Adriana Lecouvreur n’a depuis sa création cessé d’exposer sur la scène des illusions théâtrales les plus nobles sentiments de la vie réelle. Angela Gheorghiu chante enfin à Paris l’une de ses héroïnes fétiches (en alternance). En italien surtitré.

Puccini mêle avec art les ingrédients d'un mélodrame écrit pour Sarah Bernhardt et compose en quelque sorte l'opéra de l'opéra, une fresque à la fois primitive et décadente. Pierre Audi signe pour l'Opéra de Paris une nouvelle production de cette oeuvre violente et ardente. En langue italienne.

Terrible portrait de femme que ce récit d’une humiliation qui mène à la mort. Peu d’action, mais le lent poème de l’âme. Svetla Vassileva incarne cette jeune femme éperdue, dans la mise en scène immaculée de Bob Wilson. En langue italienne.

Les Noces de Figaro sont jouées à l’Opéra de Paris dans la légendaire production de Giorgio Strehler, entre ombre et lumière, sourires et larmes. En compagnie de merveilleux mozartiens, un moment essentiel de l’histoire de l’opéra. En langue italienne.