Bertrand Liebert

Bertrand Liebert

Il décide de se consacrer à la danse puis au chant - Petit Conservatoire de Mireille - et à la comédie - Cours René Simon.

Sur trois ans de formation, il n’en fait en réalité qu’un, puisqu’il part jouer avec Henri Tisot et Corinne Marchand - L’Homme la Bête et la Vertu ; puis il se frotte à la technique en tant que régisseur avec Daniel Gélin - Huis Clos, Pétition -. Il revient au cours quelques mois le temps de décrocher le prix René Simon puis repart pour tourner son premier film pour la télévision avec Michel Subiela : Le Prix de la Terre. Suivront une dizaine de téléfilms réalisés par Michel Wyn, Paul Vecchiali, Claude Vital...

Au cinéma il tourne sous la direction de Jean-Claude Roy, Med Hondo et de Jean-Luc Godard - Prénom Carmen.

Au théâtre il joue sous la direction de Philippe Rondest avec Jean-Marie Proslier et Gérard Cailleau, Lucian Pintille avec Maria Casarès, Michel Fagadau avec Michel Roux et Virginie Pradal. Plus récemment, il assiste Pierre-Marie Carlier dans une mise en scène résolument moderne de Dom Juan dans laquelle il joue les deux rôles cumulés de Don Carlos et Don Alonse, un Magnum 357 à la ceinture !

Il assiste à nouveau Pierre-Marie Carlier dans la mise en scène de Mademoiselle Julie que celui-ci présenta en 2004 au théâtre Daniel-Sorano de Vincennes avant de revenir 30 ans plus tard à ses premières amours en signant sa première mise scène avec Rio-Roubaix de Benjamin Lefebvre.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Bertrand Liebert

Rio-Roubaix

Clavel, Paris

du 2 juin au 30 juil. 2005
1H30
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Benjamin Lefebvre
  • Mise en scène : Bertrand Liebert
  • Avec : Benjamin Lefebvre, Véronique Desmadryl, Charlotte Claeyssen
Les coulisses et la scène de l’Opéra de Marseille le jour d’un grand gala de charité. Benito Cortes, chanteur-travesti brésilien, qui doit sa notoriété à une apparition furtive dans le dernier film de James Bond, peaufine ses numéros et répète à qui veut l’entendre son déplaisir total d'être en France. Des personnages extravagants, touchants, uniques. Des rencontres improbables et surprenantes. Une comédie pleine de surprises, de joie et d'émotion qui apporte sourire et bonne humeur. Une histoire de retrouvailles impossibles, mais aussi un encouragement à nous regarder en face, à trouver la force de tout recommencer, à repartir de zéro quand les masques que nous prenons deviennent trop lourds. Des sujets de réflexion dans un tourbillon de rire et de paillettes.
Un Dom Juan

Lucernaire, Paris

du 22 janv. au 29 mars 2003
CLASSIQUE Terminé
  • De : Molière
  • Mise en scène : Pierre-Marie Carlier
  • Avec : Yves Belluardo, Pierre-Marie Carlier, Karine Mauran, Max Douchin, Arnaud Dautzenberg, Cyril Aubin, Ivola Pounembetti, Gersende Legars, Bertrand Liebert, Luc Requier
En quête d’absolu, Dom Juan erre désespérément à la recherche d’une réalité divine. Avide de pureté, c’est dans l’abjection qu’il entend trouver la lumière. Au delà de toutes les limites, il entend découvrir si la vie de l’homme renferme l’universel et le divin.« Einstein disait :
Un Dom Juan

Lucernaire, Paris

du 17 mai au 12 oct. 2002
CLASSIQUE Terminé
  • De : Molière
  • Mise en scène : Pierre-Marie Carlier
  • Avec : Yves Belluardo, Pierre-Marie Carlier, Karine Mauran, Max Douchin, Arnaud Dautzenberg, Cyril Aubin, Ivola Pounembetti, Gersende Legars, Bertrand Liebert, Luc Requier
En quête d’absolu, Dom Juan erre désespérément à la recherche d’une réalité divine. Avide de pureté, c’est dans l’abjection qu’il entend trouver la lumière. Au delà de toutes les limites, il entend découvrir si la vie de l’homme renferme l’universel et le divin.« Einstein disait :
Un Dom Juan

Aktéon, Paris

du 2 oct. au 8 déc. 2001
CLASSIQUE Terminé
  • De : Molière
  • Mise en scène : Pierre-Marie Carlier
  • Avec : Yves Belluardo, Pierre-Marie Carlier, Karine Mauran, Max Douchin, Arnaud Dautzenberg, Cyril Aubin, Ivola Pounembetti, Gersende Legars, Bertrand Liebert, Luc Requier
En quête d’absolu, Dom Juan erre désespérément à la recherche d’une réalité divine. Avide de pureté, c’est dans l’abjection qu’il entend trouver la lumière. Au delà de toutes les limites, il entend découvrir si la vie de l’homme renferme l’universel et le divin.« Einstein disait :