Amine Adjina
- Formation
Université Aix-Marseille - Licence mention théorie et pratique des arts du spectacle (Marseille 2011)
ERAC (Ecole nationale de Cannes et Marseille) - Valérie Dréville, Charlotte Clamens, Béatrice Houplain, Guillaume Lévêque, Alexandra Badéa, Youri Pogrebnitchko (Cannes 2008/11)
Conservatoire Régional de Créteil - Pascal Antonini (Val de Marne)
Université Paris 1 Sorbonne - Etudes d’économie (Paris)
Compagnie du Double - Co-directeur artistique depuis 2012
- Repères
Auteur / metteur en scène
Sur-Prise (Comédie-Française, Théâtre du Vieux-Colombier, Paris 2012)
Clean me up, commande d’écriture pour la Compagnie Serres Chaudes, Coraline Cauchi (2012/13)
Autoportrait à la cigarette, commande pour Robert Cantarella pour le Musée Vivant, JF (La Friche Belle de mai, Marseille 2011)
Comédien
Je te regarde, Alexandra Badea, mise en scène de l’auteur (Mains d’oeuvres, Paris 2012)
Une passion en Algérie, Paul-Albert Février, mise en scène de Laurent Bergé (La Baignoire, Montpellier, 2012)
sL’Homme inutile ou la Conspiration des sentiments, Iouri Olecha, mise en scène de Bernard Sobel (Théâtre de la Colline, Paris 2011)
Phèdre : l’Aveu, Sénèque, Garnier, Racine, Enquist, Tsvétaïeva, Rimbaud, A. Schmitter, mise en scène de Valérie Dreville et Charlotte Clamens (Théâtre de l’Aquarium, Paris 2011)
Tourista, Marius von Mayenburg, lecture dirigée par Robert Cantarella (Montévidéo, Marseille 2010)
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Amine Adjina
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
- De : Amine Adjina
- Mise en scène : Amine Adjina, Emilie Prevosteau
- Avec : Romain Dutheil, Guillaume Mika, Maxime Mikolajczak, Emilie Prevosteau
Avec cette farce, inspirée de l’ouvrage magistral de Günther Anders L’Obsolescence de l’homme, Émilie Prévosteau et Amine Adjina explorent les liens familiaux tout en questionnant nos rapports aux images
de fiction et à leur (sur)consommation.
Les plateaux sauvages, Paris
- De : Florence Valéro
- Mise en scène : Pascal Kirsch
- Avec : Florence Valéro, Amine Adjina
Dans une banlieue du Sud-Ouest en 1992, les pavillons aux toits de couleurs sont réservés aux « blanc·he·s » et les barres blanc cassé aux « gens de couleurs ». Les enfants s’apprivoisent sur un endroit-passerelle : le terrain vague. Vingt ans plus tard, Medhi reprend contact avec une ancienne habitante des pavillons.
Vieux Colombier - Comédie Française, Paris
- Mise en scène : Amine Adjina, Emilie Prevosteau
- Avec : Coraly Zahonero, Alexandre Pavloff, Danièle Lebrun, Birane Ba, Claïna Clavaron, Marie Oppert, Adrien Simion
L’arrivée d’un homme au charme magnétique dans une famille bourgeoise vient troubler la vie de chacun de ses membres. Amine Adjina réinterprète le film de Pasolini et lui donne avec poésie et humour un écho contemporain, emporté par une distribution impeccable. On adore.
Théâtre des Bergeries, Noisy-le-Sec
- De : Amine Adjina, Gustave Akakpo, Métie Navajo
- Mise en scène : Amine Adjina, Gustave Akakpo, Métie Navajo
- Avec : Amine Adjina, Gustave Akakpo, Métie Navajo
Concepteur·trice·s, auteur·trice·s et interprètes, Amine Adjina, Gustave Akakpo et Métie Navajo se rencontrent lors d’un festival où naît l’idée de cette conférence. Ils et elle viennent aux Plateaux Sauvages pour élaborer le spectacle dans sa conception dramaturgique jusqu’au passage à la scène. Venez les écouter et élire votre représentant·e de la diversité !
Théâtre 13 - Bibliothèque, Paris
- De : Amine Adjina
- Mise en scène : Amine Adjina
- Avec : Mathias Bentahar, Romain Dutheil, Emilie Prevosteau
« Nos ancêtres les Gaulois » : ce poncif de l’éducation républicaine est une des composantes primordiales du récit national. Historiquement, cette assertion n’a pourtant que peu de valeur tant la Gaule n’était pas un territoire unifié mais un archipel de tribus hétéroclites. À partir de 10 ans.
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
- De : Amine Adjina
- Mise en scène : Amine Adjina
- Avec : Mathias Bentahar, Romain Dutheil, Emilie Prevosteau
« Nos ancêtres les Gaulois » : ce poncif de l’éducation républicaine est une des composantes primordiales du récit national. Historiquement, cette assertion n’a pourtant que peu de valeur tant la Gaule n’était pas un territoire unifié mais un archipel de tribus hétéroclites. À partir de 10 ans.
La Colline (Théâtre National), Paris
- De : Alexandra Badea
- Mise en scène : Alexandra Badea
- Avec : Amine Adjina, Madalina Constantin, Kader Lassina Touré, Thierry Raynaud, Sophie Verbeeck, Alexandra Badea
Alexandra Badea et sa troupe d’actrices et d’acteurs poursuivent leur traversée de l’Histoire contemporaine et plus que jamais universelle de la France. Pour ce deuxième volet de la trilogie Points de non-retour, elle place au centre de l’histoire le personnage de Nora, réalisatrice de documentaires pour la radio publique française et partie sur les traces de son grand-père en Algérie.
La Colline (Théâtre National), Paris
- De : Alexandra Badea
- Mise en scène : Alexandra Badea
- Avec : Amine Adjina, Madalina Constantin, Kader Lassina Touré, Thierry Raynaud, Sophie Verbeeck
Comment dénouer les nœuds de l’histoire, ces « points de non-retour » dont on effleure parfois les thèmes dans les repas de famille, sources de blessures et de divisions de la société français ? Dans une fresque déployée en trois parties, Alexandra Badea et ses acteurs donnent la parole à ceux que l’on n’entend pas, dans une traversée de l’histoire contemporaine et résolument universelle de la France.
La Colline (Théâtre National), Paris
- Mise en scène : Alexandra Badea
- Avec : Amine Adjina, Madalina Constantin, Kader Lassina Touré, Véronique Sacri, Sophie Verbeeck, Alexandra Badea
Troisième opus de la trilogie Points de non-retour, [Diagonale du vide] convoque la mémoire des « enfants de la Creuse », ces jeunes Réunionnais déracinés entre 1963 et 1982 pour repeupler les zones rurales de la métropole.
Théâtre des Quartiers d'Ivry, Ivry-sur-Seine
- De : Amine Adjina
- Mise en scène : Amine Adjina, Emilie Prevosteau
- Avec : Romain Dutheil, Guillaume Mika, Maxime Mikolajczak, Emilie Prevosteau
Avec cette farce, inspirée de l’ouvrage magistral de Günther Anders L’Obsolescence de l’homme, Émilie Prévosteau et Amine Adjina explorent les liens familiaux tout en questionnant nos rapports aux images
de fiction et à leur (sur)consommation.
